Prédations sur les animaux de rente VD
Et les loups vaudois
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Watson
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La mise à mort s'est déroulée le 5 octobre en début de soirée. La bête serait l'autrice des deux attaques de loup dans la région ... Front|Suisse ...
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La mise à mort s'est déroulée le 5 octobre en début de soirée. La bête serait l'autrice des deux attaques de loup dans la région ... Front|Suisse ...
Victoire pour la population de loups
Bien que les évaluations de l'UE ne s'appliquent pas à la proposition actuelle au titre de la Convention de Berne, la proposition de l'UE souligne que l'évaluation du statut de 2019 « a indiqué que la taille des populations, la disponibilité des habitats et l'aire de répartition de l'espèce montrent généralement une tendance stable ou positive dans toutes les régions biogéographiques, confirmant que l'espèce continue de recoloniser des parties de son aire de répartition naturelle ». L'analyse de 2023 confirme l'expansion positive continue du loup.
La décision d'aujourd'hui ouvre la voie à des outils de coexistence pour apaiser les tensions. En l'absence de mesures appropriées, le braconnage et les empoisonnements sont en augmentation. Les effets collatéraux sont très préjudiciables à l'environnement : non seulement les loups sont empoisonnés, mais aussi les chiens de garde du bétail, les ours, les oiseaux charognards et, pire encore, les eaux de nos ruisseaux. La persistance de ces poisons est une catastrophe environnementale. Ce phénomène est en train d'émerger dans de nombreux États membres, l'Italie ayant même créé une unité canine spécialisée pour lutter contre ce braconnage.
La gestion des problèmes liés aux loups doit rester de la responsabilité des États, mais ceux-ci ont besoin d’un cadre juridique stable et pérenne, qui ne soit pas remis en cause devant les tribunaux à chaque fois qu’une dérogation est émise par une collectivité locale.
Bien que les évaluations de l'UE ne s'appliquent pas à la proposition actuelle au titre de la Convention de Berne, la proposition de l'UE souligne que l'évaluation du statut de 2019 « a indiqué que la taille des populations, la disponibilité des habitats et l'aire de répartition de l'espèce montrent généralement une tendance stable ou positive dans toutes les régions biogéographiques, confirmant que l'espèce continue de recoloniser des parties de son aire de répartition naturelle ». L'analyse de 2023 confirme l'expansion positive continue du loup.
La décision d'aujourd'hui ouvre la voie à des outils de coexistence pour apaiser les tensions. En l'absence de mesures appropriées, le braconnage et les empoisonnements sont en augmentation. Les effets collatéraux sont très préjudiciables à l'environnement : non seulement les loups sont empoisonnés, mais aussi les chiens de garde du bétail, les ours, les oiseaux charognards et, pire encore, les eaux de nos ruisseaux. La persistance de ces poisons est une catastrophe environnementale. Ce phénomène est en train d'émerger dans de nombreux États membres, l'Italie ayant même créé une unité canine spécialisée pour lutter contre ce braconnage.
La gestion des problèmes liés aux loups doit rester de la responsabilité des États, mais ceux-ci ont besoin d’un cadre juridique stable et pérenne, qui ne soit pas remis en cause devant les tribunaux à chaque fois qu’une dérogation est émise par une collectivité locale.
Le canton de Vaud veut éliminer une meute de sept loups
Canton du Valais: Régulation proactive du loup 2024 - 2025
Le loup met encore Albert Rösti en difficulté
Le Tessin autorise le tir du loup dans le Val Bedretto
Le Canton autorise le tir de deux louveteaux
Alors que les prédations semblent en baisse dans les alpages du Jura vaudois, deux tirs sont ordonnés sur la meute du Mont-Tendre. Les opposants veulent remonter sur le terrain.
Erwan Le Bec 24 heures
La saison des affûts va reprendre dans le Jura vaudois. Depuis vendredi dernier, les gardes-faune de l’État sont en droit de tirer sur deux louveteaux de la meute du Mont-Tendre, sur les trois de la portée 2024, la seule des meutes du canton officiellement identifiée à ce jour. L’effet suspensif est levé et l’autorisation court jusqu’au 31 août.
Nouveauté qui découle de la dernière version de l’ordonnance sur la chasse, l’OFEV (Office fédéral de l’environnement) demande cette fois de cibler les jeunes loups autour des alpages concernés par les dernières attaques: La Lande Dessus au Chenit, le Petit Cunay à Bière et le Sapelet Dessous à L’Abbaye. Alors que l’État avait été jusqu’à restreindre la diffusion des cartes des derniers tirs, les militants proloups connaissent ainsi le périmètre précis que vise le corps de police faune-nature.
Baisse des chiffres
De quoi promettre de nouveaux moments de tensions en altitude: mardi, les opposants de Defend The Wolf se préparent déjà à retourner s’interposer. «Ce sont des tirs arbitraires, répète Fabrice Monnet. Le loup a clairement changé de comportement. Il évite certains passages, les meutes sont plus tranquilles ils ont appris à éviter les activités humaines. Le problème reste les troupeaux qui ne sont pas assez protégés, pas des louveteaux qui viennent de naître.»
«Plus tranquilles» les meutes? Oui et non. Un regard détaillé sur les chiffres officiels des prédations montre que si les victimes du loup augmentent fortement en plaine, du fait de M121 ce printemps, le bilan à mi-saison est effectivement en baisse en altitude. À la même période en 2022, 25 bêtes avaient été blessées, tuées ou emportées par les loups dans le Jura vaudois, contre 28 en 2023. Cette année, une quinzaine. Presque moitié moins.
Que se passe-t-il? Le Canton se refuse pour l’heure à tout commentaire. Les défenseurs du loup estiment de leur côté voir davantage de mesures de protection s’accumuler: clôtures renforcées, veaux rentrés le soir, et même des ânes de protection. À l’alpage des Croisettes, Kim Berney, lui, relativise, soulignant que toutes les victimes ne sont peut-être pas connues. «Les loups sont plus actifs de l’autre côté, en direction du Marchairuz. Ils seront peut-être bien sur nous plus tard dans la saison», s’inquiète-t-il, suivant son troupeau par GPS, un nouveau projet mené avec la Kora. «Clairement l’avenir! Ça ne sauvera peut-être pas toutes les bêtes, mais ça permettra d’anticiper.»
Cadre légal plus souple
À l’autre bout du Jura, à La Trélasse (Saint-Cergue), Marc Ravenel a déjà perdu deux jeunes génisses, isolées par les loups en bord de clôture «Difficile à accepter. On fait du pastoralisme et on le fait bien, et au final on voit ça Franchement, ça décourage. Alors il y a moins de dégâts globalement, oui, mais le retour du loup reste une utopie. On veut quoi au final? Chacun à sa place et chacun sa part des choses.» Et de souligner que la baisse des prédations dans son secteur s’explique sans doute aussi par l’efficacité des tirs effectués sur la meute du Marchairuz en 2022.
De la meute du Mont-Tendre, deux louveteaux avaient déjà été abattus en septembre, puis un jeune mâle en janvier dernier. Ces nouveaux tirs interviennent dans un cadre légal de plus en plus souple, en évolution, et suivi de très près par le monde politique.
En l’état, la Direction générale de l’environnement précise cibler deux louveteaux en vertu des tirs «réactifs», qui permettent, depuis décembre 2023 et jusqu’en janvier 2025, de viser jusqu’à deux tiers d’une portée d’une meute directement durant la saison d’estive dès qu’un bovin est tué ou blessé.
Il ne s’agit pas des tirs «préventifs» mis en place par les services du conseiller fédéral Albert Rösti, qui permettent, entre septembre et janvier, de réguler une à plusieurs portées, voire des meutes entières afin de prévenir des dégâts à l’agriculture. Largement débattue, cette application anticipée de la loi sur la chasse avait été appliquée en Valais et dans les Grisons, pas dans le canton de Vaud.
Alors que les prédations semblent en baisse dans les alpages du Jura vaudois, deux tirs sont ordonnés sur la meute du Mont-Tendre. Les opposants veulent remonter sur le terrain.
Erwan Le Bec 24 heures
La saison des affûts va reprendre dans le Jura vaudois. Depuis vendredi dernier, les gardes-faune de l’État sont en droit de tirer sur deux louveteaux de la meute du Mont-Tendre, sur les trois de la portée 2024, la seule des meutes du canton officiellement identifiée à ce jour. L’effet suspensif est levé et l’autorisation court jusqu’au 31 août.
Nouveauté qui découle de la dernière version de l’ordonnance sur la chasse, l’OFEV (Office fédéral de l’environnement) demande cette fois de cibler les jeunes loups autour des alpages concernés par les dernières attaques: La Lande Dessus au Chenit, le Petit Cunay à Bière et le Sapelet Dessous à L’Abbaye. Alors que l’État avait été jusqu’à restreindre la diffusion des cartes des derniers tirs, les militants proloups connaissent ainsi le périmètre précis que vise le corps de police faune-nature.
Baisse des chiffres
De quoi promettre de nouveaux moments de tensions en altitude: mardi, les opposants de Defend The Wolf se préparent déjà à retourner s’interposer. «Ce sont des tirs arbitraires, répète Fabrice Monnet. Le loup a clairement changé de comportement. Il évite certains passages, les meutes sont plus tranquilles ils ont appris à éviter les activités humaines. Le problème reste les troupeaux qui ne sont pas assez protégés, pas des louveteaux qui viennent de naître.»
«Plus tranquilles» les meutes? Oui et non. Un regard détaillé sur les chiffres officiels des prédations montre que si les victimes du loup augmentent fortement en plaine, du fait de M121 ce printemps, le bilan à mi-saison est effectivement en baisse en altitude. À la même période en 2022, 25 bêtes avaient été blessées, tuées ou emportées par les loups dans le Jura vaudois, contre 28 en 2023. Cette année, une quinzaine. Presque moitié moins.
Que se passe-t-il? Le Canton se refuse pour l’heure à tout commentaire. Les défenseurs du loup estiment de leur côté voir davantage de mesures de protection s’accumuler: clôtures renforcées, veaux rentrés le soir, et même des ânes de protection. À l’alpage des Croisettes, Kim Berney, lui, relativise, soulignant que toutes les victimes ne sont peut-être pas connues. «Les loups sont plus actifs de l’autre côté, en direction du Marchairuz. Ils seront peut-être bien sur nous plus tard dans la saison», s’inquiète-t-il, suivant son troupeau par GPS, un nouveau projet mené avec la Kora. «Clairement l’avenir! Ça ne sauvera peut-être pas toutes les bêtes, mais ça permettra d’anticiper.»
Cadre légal plus souple
À l’autre bout du Jura, à La Trélasse (Saint-Cergue), Marc Ravenel a déjà perdu deux jeunes génisses, isolées par les loups en bord de clôture «Difficile à accepter. On fait du pastoralisme et on le fait bien, et au final on voit ça Franchement, ça décourage. Alors il y a moins de dégâts globalement, oui, mais le retour du loup reste une utopie. On veut quoi au final? Chacun à sa place et chacun sa part des choses.» Et de souligner que la baisse des prédations dans son secteur s’explique sans doute aussi par l’efficacité des tirs effectués sur la meute du Marchairuz en 2022.
De la meute du Mont-Tendre, deux louveteaux avaient déjà été abattus en septembre, puis un jeune mâle en janvier dernier. Ces nouveaux tirs interviennent dans un cadre légal de plus en plus souple, en évolution, et suivi de très près par le monde politique.
En l’état, la Direction générale de l’environnement précise cibler deux louveteaux en vertu des tirs «réactifs», qui permettent, depuis décembre 2023 et jusqu’en janvier 2025, de viser jusqu’à deux tiers d’une portée d’une meute directement durant la saison d’estive dès qu’un bovin est tué ou blessé.
Il ne s’agit pas des tirs «préventifs» mis en place par les services du conseiller fédéral Albert Rösti, qui permettent, entre septembre et janvier, de réguler une à plusieurs portées, voire des meutes entières afin de prévenir des dégâts à l’agriculture. Largement débattue, cette application anticipée de la loi sur la chasse avait été appliquée en Valais et dans les Grisons, pas dans le canton de Vaud.
Prédations sur les animaux de rente VD
Jura bernois, les éleveurs n’ont d'autre choix que de s’habituer à vivre avec le loup
Prédation à l'État de Vaud (vd.ch)
Des éleveurs au château avec des cadavres de moutons
Un membre du comité de notre Association Suisse me demande de prendre contact avec les paysans, éleveurs du canton de Vaud, Fribourg et Neuchâtel pour qu’ils s’investissent à signer cette initiative très importante pour la régulation au niveau national du loup. Vous connaissez certainement des personnes susceptibles de signer cette initiative. Alors, faites un effort car la Suisse Romande n’a que très peu envoyé de formulaire rempli à ce jour et il ne reste que 6 mois pour atteindre les 100'000 signatures. Je compte sur vous, même 1 signature peut être envoyé à l’adresse de Mme Grab. Alors imprimez ce formulaire et remplissez-en le plus possible.
Merci et bonne fin de journée.
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Massacre à Poliez-Pittet
Réorientation de l'élevage de chiens de protection
De la Confédération aux cantons - l'annonce de la réorientation de l'élevage de chiens de protection des troupeaux a donné lieu à des articles choquants dans les médias. Le Service d'information agricole voit les choses plus nuancé.
Même si la manière de communiquer sur la fin du programme d'élevage de chiens de protection des troupeaux ne s'est pas déroulée comme prévu : Le transfert de la tâche aux cantons était prévisible depuis un certain temps. Mais jusqu'à ce que l'élevage soit soutenu par les cantons, il pourrait y avoir des goulots d'étranglement dans la protection des troupeaux.
Cette semaine, un changement important dans le domaine de la protection des troupeaux en Suisse a été annoncé : L'Office fédéral de l'environnement (OFEV) prévoit d'arrêter le programme d'élevage de chiens de protection des troupeaux d'ici la fin de l'année.
Ce qui, à première vue, était surprenant et a déclenché de vives réactions, devient inévitable avec l'acceptation de la modification de la loi sur la chasse en décembre 2022 : "A partir de 2025, les tâches et les compétences de la Confédération et des cantons seront redéfinies en raison de la loi sur la chasse adaptée par le Parlement en décembre 2022", peut-on lire dans la prise de position de l'OFEV.
On savait donc depuis un peu plus d'un an qu'il y aurait de nouvelles réglementations dans le domaine de la protection des troupeaux, et il est désormais évident que l'élevage de chiens de protection ne sera probablement plus effectué sur mandat de l'OFEV à partir de l'année prochaine.
Changements imminents dans la protection des troupeaux en Suisse
La manière dont l'information a été diffusée est toutefois très malheureuse, explique Daniel Mettler, responsable du groupe de développement rural chez Agridea. Cette association coordonne les mesures de protection des troupeaux en Suisse sur mandat de l'OFEV.
"Ce qui a été divulgué après une réunion entre l'Association suisse pour la protection des chiens de troupeau, Agridea et l'OFEV n'était pas un communiqué officiel", explique Daniel Mettler. Le moment et la manière dont l'information est parvenue au public n'ont pas été choisis délibérément. Mais Daniel Mettler souligne également que des changements dans le domaine de la protection des troupeaux devaient être attendus en raison de la loi sur la chasse qui a été adaptée en 2022.
"Le fait est que de nouvelles réglementations étaient prévisibles en raison de l'adaptation de la loi sur la chasse au Parlement en 2022. Ces nouvelles réglementations concerneront également le domaine de la protection des troupeaux et donc l'élevage des chiens de protection", explique-t-il. Les changements prendraient effet à partir de 2025, date à laquelle la nouvelle ordonnance sur la chasse entrerait en vigueur. Malgré les changements à venir, Daniel Mettler confirme que 7,7 millions de francs sont toujours disponibles pour la protection des troupeaux pour l'année en cours et que la répartition de ces fonds sera probablement similaire à celle de l'année précédente.
Une certaine incertitude demeure
La grande incertitude qui règne ne peut toutefois pas être balayée d'un revers de main : "Depuis la votation sur la révision de la loi sur la chasse, nous assistons à une grande dynamique en ce qui concerne les bases légales. Il règne une grande insécurité car, en raison des circonstances particulières du rejet de la révision par le peuple, il faut du temps pour élaborer ce qui figure dans la nouvelle ordonnance et quelles en sont les conséquences sur l'exécution et la mise en œuvre", explique Daniel Mettler.
L'Association suisse pour les chiens de protection des troupeaux, dont les membres mettent en pratique l'élevage et la formation des deux races reconnues en Suisse pour la protection des troupeaux sur la base d'un mandat de prestations de la Confédération et sont indemnisés financièrement pour cela, en subit notamment les conséquences.
"Cette compensation financière doit maintenant être redistribuée par le biais des cantons et il règne actuellement une grande incertitude à tous les niveaux", explique Martin von Wyl, directeur de l'association. Au cours des deux dernières années, l'association Chiens de protection Suisse a été informée à plusieurs reprises des changements possibles de la part de l'OFEV, poursuit Martin von Wyl, qui ajoute : "Mais malheureusement, personne n'a pu nous dire de manière contraignante où le voyage allait nous mener".
Pression du temps et défis
Et cela devrait rester ainsi jusqu'à la fin de la consultation sur la nouvelle ordonnance sur la chasse. Selon l'OFEV, celle-ci sera mise en consultation ce printemps. Le Conseil fédéral décidera de l'entrée en vigueur de l'ordonnance dans le courant de l'année 2024, poursuit l'OFEV. Il est prévu que les dispositions d'exécution de la loi révisée sur la chasse entrent en vigueur le 1er février 2025. Il ne reste donc pas beaucoup de temps entre la consultation, où les points encore ouverts doivent être clarifiés, et l'entrée en vigueur des nouvelles dispositions.
Daniel Mettler exprime lui aussi des inquiétudes quant à l'étroitesse de la fenêtre temporelle jusqu'à l'introduction des nouvelles dispositions : "Dans l'élevage, la sélection est toujours un processus à long terme - il faut un horizon de planification pour les éleveurs et bien sûr aussi pour les futurs détenteurs qui demandent les chiens pour protéger leurs troupeaux".
Cet horizon de planification ne peut guère être garanti avec le laps de temps restreint entre la consultation et l'entrée en vigueur des nouvelles dispositions. "Mais personne n'y est pour rien, cela tient à la dynamique de la révision de la législation", dit Daniel Mettler et ajoute : "Malgré tout, ce problème ne pourra pas être résolu en quelques mois et, en conséquence, des chiens pourraient manquer dans un ou deux ans".
Ces craintes sont également partagées par l'Association suisse pour les chiens de protection des troupeaux : "Malheureusement, au cours des deux dernières années, nous avons dû en grande partie prendre les devants et c'est justement maintenant que nous nous inquiétons de savoir si les membres de notre association à la base pourront poursuivre leur travail comme prévu cette année", explique Martin von Wyl.
La Fédération suisse d'économie alpestre (FSA) est également inquiète : "Il y a déjà trop peu de chiens de protection disponibles et les délais d'attente sont parfois longs - nous craignons que cette situation ne s'aggrave encore", déclare Selina Droz, directrice de la FSA.
Libéralisation de la protection des troupeaux en Suisse
Mais les changements qui se profilent dans le domaine de la protection des troupeaux peuvent aussi être une chance. Selon elle, l'aide à l'exécution actuelle de l'OFEV sur la protection des troupeaux stipule déjà qu'il devrait y avoir la possibilité pour d'autres associations de se faire accréditer auprès de la Confédération pour l'élevage de chiens de protection des troupeaux. "Cette évolution vers d'autres associations qui souhaitent le faire existe déjà et il y a aussi de plus en plus de chiens de protection utilisés en dehors du programme officiel de la Confédération", explique Daniel Mettler.
"La tendance est que les cantons ont demandé et obtenu plus de compétences - mot-clé : régulation du loup", explique Daniel Mettler, qui ajoute : "Cela doit maintenant être adapté à la protection des troupeaux et, par conséquent, à l'élevage des chiens de protection, et c'est pourquoi la Confédération a maintenant mis en place une stratégie de libéralisation pour l'élevage des chiens de protection".
Décentralisation et nouvelles perspectives
Ainsi, les cantons du Valais et des Grisons, entre autres, ont déjà développé leurs propres structures pour la protection des troupeaux. A l'avenir, les cantons devront désormais décider quelles races de chiens ils souhaitent autoriser pour la protection des troupeaux et s'ils veulent par exemple encourager l'élevage de certaines races.
"Nous espérons que cette modification apportera une certaine flexibilité, que de nouvelles races pourront par exemple être autorisées", déclare Selina Droz de la Société suisse d'économie alpestre, pleine d'espoir.
En attendant, l'Association suisse pour les chiens de protection des troupeaux a déjà noué des contacts pour amorcer la transition : "Nous sommes en contact depuis quelques mois avec quatre cantons pour une future collaboration - mais il faut d'abord que la consultation sur la nouvelle loi sur la chasse passe la rampe pour que les cantons puissent développer leurs concepts de protection des troupeaux", explique Martin von Wyl.
L'association est cependant très confiante dans le fait que la demande pour les chiens de protection de très bonne qualité que ses membres élèvent et forment ne diminuera pas à l'avenir. "Un éleveur d'animaux de rente veut en premier lieu protéger ses animaux et pour cela, il a besoin de chiens de protection bien formés en qui il peut avoir confiance et tant que nous aurons des loups, nous devrons protéger nos animaux de rente", estime Martin von Wyl.
Financement et avenir de la protection des troupeaux
Mais pour continuer à former des chiens de protection de qualité, il faut absolument un soutien financier, selon Martin von Wyl. Selina Droz, de la Société suisse d'économie alpestre, abonde dans ce sens : Sans argent, il n'y a pas de protection des troupeaux. "Notre revendication est très claire - il doit toujours y avoir suffisamment d'argent à disposition pour la protection des troupeaux et les chiens de protection, sinon les alpagistes ne peuvent pas non plus protéger leurs troupeaux", déclare la directrice de la FSA.
La forme que prendra le financement à l'avenir reste toutefois à voir, car la plupart des cantons doivent d'abord développer leurs structures et leurs concepts. Et ce n'est qu'après la consultation que l'on saura également s'il y aura encore un article de promotion ancré au niveau fédéral pour l'élevage de chiens de protection des troupeaux.
"Mais d'une manière générale, la protection des troupeaux n'est pas contestée", déclare Daniel Mettler. Les contributions ne sont pas contestées et l'intégration de la protection des troupeaux dans l'ordonnance sur les paiements directs n'est pas non plus contestée, ce qui a déjà été fait. L'Office fédéral de l'environnement le confirme également : "La protection des troupeaux reste centrale pour la protection des animaux de rente - c'est pourquoi les moyens financiers à disposition de la Confédération pour la protection des troupeaux et les chiens de protection sont maintenus, indépendamment de la réorganisation des tâches et des compétences".
Source : www.lid.ch
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Ronald Sommer
De la Confédération aux cantons - l'annonce de la réorientation de l'élevage de chiens de protection des troupeaux a donné lieu à des articles choquants dans les médias. Le Service d'information agricole voit les choses plus nuancé.
Même si la manière de communiquer sur la fin du programme d'élevage de chiens de protection des troupeaux ne s'est pas déroulée comme prévu : Le transfert de la tâche aux cantons était prévisible depuis un certain temps. Mais jusqu'à ce que l'élevage soit soutenu par les cantons, il pourrait y avoir des goulots d'étranglement dans la protection des troupeaux.
Cette semaine, un changement important dans le domaine de la protection des troupeaux en Suisse a été annoncé : L'Office fédéral de l'environnement (OFEV) prévoit d'arrêter le programme d'élevage de chiens de protection des troupeaux d'ici la fin de l'année.
Ce qui, à première vue, était surprenant et a déclenché de vives réactions, devient inévitable avec l'acceptation de la modification de la loi sur la chasse en décembre 2022 : "A partir de 2025, les tâches et les compétences de la Confédération et des cantons seront redéfinies en raison de la loi sur la chasse adaptée par le Parlement en décembre 2022", peut-on lire dans la prise de position de l'OFEV.
On savait donc depuis un peu plus d'un an qu'il y aurait de nouvelles réglementations dans le domaine de la protection des troupeaux, et il est désormais évident que l'élevage de chiens de protection ne sera probablement plus effectué sur mandat de l'OFEV à partir de l'année prochaine.
Changements imminents dans la protection des troupeaux en Suisse
La manière dont l'information a été diffusée est toutefois très malheureuse, explique Daniel Mettler, responsable du groupe de développement rural chez Agridea. Cette association coordonne les mesures de protection des troupeaux en Suisse sur mandat de l'OFEV.
"Ce qui a été divulgué après une réunion entre l'Association suisse pour la protection des chiens de troupeau, Agridea et l'OFEV n'était pas un communiqué officiel", explique Daniel Mettler. Le moment et la manière dont l'information est parvenue au public n'ont pas été choisis délibérément. Mais Daniel Mettler souligne également que des changements dans le domaine de la protection des troupeaux devaient être attendus en raison de la loi sur la chasse qui a été adaptée en 2022.
"Le fait est que de nouvelles réglementations étaient prévisibles en raison de l'adaptation de la loi sur la chasse au Parlement en 2022. Ces nouvelles réglementations concerneront également le domaine de la protection des troupeaux et donc l'élevage des chiens de protection", explique-t-il. Les changements prendraient effet à partir de 2025, date à laquelle la nouvelle ordonnance sur la chasse entrerait en vigueur. Malgré les changements à venir, Daniel Mettler confirme que 7,7 millions de francs sont toujours disponibles pour la protection des troupeaux pour l'année en cours et que la répartition de ces fonds sera probablement similaire à celle de l'année précédente.
Une certaine incertitude demeure
La grande incertitude qui règne ne peut toutefois pas être balayée d'un revers de main : "Depuis la votation sur la révision de la loi sur la chasse, nous assistons à une grande dynamique en ce qui concerne les bases légales. Il règne une grande insécurité car, en raison des circonstances particulières du rejet de la révision par le peuple, il faut du temps pour élaborer ce qui figure dans la nouvelle ordonnance et quelles en sont les conséquences sur l'exécution et la mise en œuvre", explique Daniel Mettler.
L'Association suisse pour les chiens de protection des troupeaux, dont les membres mettent en pratique l'élevage et la formation des deux races reconnues en Suisse pour la protection des troupeaux sur la base d'un mandat de prestations de la Confédération et sont indemnisés financièrement pour cela, en subit notamment les conséquences.
"Cette compensation financière doit maintenant être redistribuée par le biais des cantons et il règne actuellement une grande incertitude à tous les niveaux", explique Martin von Wyl, directeur de l'association. Au cours des deux dernières années, l'association Chiens de protection Suisse a été informée à plusieurs reprises des changements possibles de la part de l'OFEV, poursuit Martin von Wyl, qui ajoute : "Mais malheureusement, personne n'a pu nous dire de manière contraignante où le voyage allait nous mener".
Pression du temps et défis
Et cela devrait rester ainsi jusqu'à la fin de la consultation sur la nouvelle ordonnance sur la chasse. Selon l'OFEV, celle-ci sera mise en consultation ce printemps. Le Conseil fédéral décidera de l'entrée en vigueur de l'ordonnance dans le courant de l'année 2024, poursuit l'OFEV. Il est prévu que les dispositions d'exécution de la loi révisée sur la chasse entrent en vigueur le 1er février 2025. Il ne reste donc pas beaucoup de temps entre la consultation, où les points encore ouverts doivent être clarifiés, et l'entrée en vigueur des nouvelles dispositions.
Daniel Mettler exprime lui aussi des inquiétudes quant à l'étroitesse de la fenêtre temporelle jusqu'à l'introduction des nouvelles dispositions : "Dans l'élevage, la sélection est toujours un processus à long terme - il faut un horizon de planification pour les éleveurs et bien sûr aussi pour les futurs détenteurs qui demandent les chiens pour protéger leurs troupeaux".
Cet horizon de planification ne peut guère être garanti avec le laps de temps restreint entre la consultation et l'entrée en vigueur des nouvelles dispositions. "Mais personne n'y est pour rien, cela tient à la dynamique de la révision de la législation", dit Daniel Mettler et ajoute : "Malgré tout, ce problème ne pourra pas être résolu en quelques mois et, en conséquence, des chiens pourraient manquer dans un ou deux ans".
Ces craintes sont également partagées par l'Association suisse pour les chiens de protection des troupeaux : "Malheureusement, au cours des deux dernières années, nous avons dû en grande partie prendre les devants et c'est justement maintenant que nous nous inquiétons de savoir si les membres de notre association à la base pourront poursuivre leur travail comme prévu cette année", explique Martin von Wyl.
La Fédération suisse d'économie alpestre (FSA) est également inquiète : "Il y a déjà trop peu de chiens de protection disponibles et les délais d'attente sont parfois longs - nous craignons que cette situation ne s'aggrave encore", déclare Selina Droz, directrice de la FSA.
Libéralisation de la protection des troupeaux en Suisse
Mais les changements qui se profilent dans le domaine de la protection des troupeaux peuvent aussi être une chance. Selon elle, l'aide à l'exécution actuelle de l'OFEV sur la protection des troupeaux stipule déjà qu'il devrait y avoir la possibilité pour d'autres associations de se faire accréditer auprès de la Confédération pour l'élevage de chiens de protection des troupeaux. "Cette évolution vers d'autres associations qui souhaitent le faire existe déjà et il y a aussi de plus en plus de chiens de protection utilisés en dehors du programme officiel de la Confédération", explique Daniel Mettler.
"La tendance est que les cantons ont demandé et obtenu plus de compétences - mot-clé : régulation du loup", explique Daniel Mettler, qui ajoute : "Cela doit maintenant être adapté à la protection des troupeaux et, par conséquent, à l'élevage des chiens de protection, et c'est pourquoi la Confédération a maintenant mis en place une stratégie de libéralisation pour l'élevage des chiens de protection".
Décentralisation et nouvelles perspectives
Ainsi, les cantons du Valais et des Grisons, entre autres, ont déjà développé leurs propres structures pour la protection des troupeaux. A l'avenir, les cantons devront désormais décider quelles races de chiens ils souhaitent autoriser pour la protection des troupeaux et s'ils veulent par exemple encourager l'élevage de certaines races.
"Nous espérons que cette modification apportera une certaine flexibilité, que de nouvelles races pourront par exemple être autorisées", déclare Selina Droz de la Société suisse d'économie alpestre, pleine d'espoir.
En attendant, l'Association suisse pour les chiens de protection des troupeaux a déjà noué des contacts pour amorcer la transition : "Nous sommes en contact depuis quelques mois avec quatre cantons pour une future collaboration - mais il faut d'abord que la consultation sur la nouvelle loi sur la chasse passe la rampe pour que les cantons puissent développer leurs concepts de protection des troupeaux", explique Martin von Wyl.
L'association est cependant très confiante dans le fait que la demande pour les chiens de protection de très bonne qualité que ses membres élèvent et forment ne diminuera pas à l'avenir. "Un éleveur d'animaux de rente veut en premier lieu protéger ses animaux et pour cela, il a besoin de chiens de protection bien formés en qui il peut avoir confiance et tant que nous aurons des loups, nous devrons protéger nos animaux de rente", estime Martin von Wyl.
Financement et avenir de la protection des troupeaux
Mais pour continuer à former des chiens de protection de qualité, il faut absolument un soutien financier, selon Martin von Wyl. Selina Droz, de la Société suisse d'économie alpestre, abonde dans ce sens : Sans argent, il n'y a pas de protection des troupeaux. "Notre revendication est très claire - il doit toujours y avoir suffisamment d'argent à disposition pour la protection des troupeaux et les chiens de protection, sinon les alpagistes ne peuvent pas non plus protéger leurs troupeaux", déclare la directrice de la FSA.
La forme que prendra le financement à l'avenir reste toutefois à voir, car la plupart des cantons doivent d'abord développer leurs structures et leurs concepts. Et ce n'est qu'après la consultation que l'on saura également s'il y aura encore un article de promotion ancré au niveau fédéral pour l'élevage de chiens de protection des troupeaux.
"Mais d'une manière générale, la protection des troupeaux n'est pas contestée", déclare Daniel Mettler. Les contributions ne sont pas contestées et l'intégration de la protection des troupeaux dans l'ordonnance sur les paiements directs n'est pas non plus contestée, ce qui a déjà été fait. L'Office fédéral de l'environnement le confirme également : "La protection des troupeaux reste centrale pour la protection des animaux de rente - c'est pourquoi les moyens financiers à disposition de la Confédération pour la protection des troupeaux et les chiens de protection sont maintenus, indépendamment de la réorganisation des tâches et des compétences".
Source : www.lid.ch
--
Ronald Sommer
Courrier à l'intention du tribunal administratif fédéral
Un courrier recommandé a été adressé à l'intention du tribunal administratif fédéral pour lui faire des conséquences que va entrainer l'arrêt suspensif de la régulation de loups dans les cantons des Grisons et du Valais.Cliquez ici pour modifier un élément..
Tir d’un loup mâle dans le secteur du Mont Tendre
Un loup mâle adulte a été tiré la nuit dernière sur le territoire de la commune de Montricher. Ce tir s’inscrit dans le cadre de la décision de réguler le mâle géniteur de la meute du Mont Tendre. Il a été réalisé conformément aux conditions fixées par l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) dans l’autorisation accordée au Canton en novembre dernier.
Un loup mâle adulte a été tiré dans la nuit du 11 au 12 janvier sur le territoire de la commune de Montricher. Cette action de régulation, menée par des agents du corps de Police faune-nature de la Direction générale de l’environnement, s’inscrit dans le cadre de la décision, entrée en force au 1er décembre, de réguler le mâle géniteur de la meute du Mont-Tendre. En application de la nouvelle ordonnance fédérale sur la chasse, la Confédération avait en effet autorisé le Canton à cibler cet individu considéré comme particulièrement nuisible. L’autorisation de tir courait jusqu’au 31 janvier de cette année.
Le tir a été effectué conformément aux exigences de l’OFEV. Le corps a été envoyé à l’Institut de pathologie animale (FIWI) de l’université de Berne. Les analyses ADN permettront de confirmer si l’animal régulé est le mâle reproducteur de la meute du Mont Tendre (M351).
Un loup mâle adulte a été tiré la nuit dernière sur le territoire de la commune de Montricher. Ce tir s’inscrit dans le cadre de la décision de réguler le mâle géniteur de la meute du Mont Tendre. Il a été réalisé conformément aux conditions fixées par l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) dans l’autorisation accordée au Canton en novembre dernier.
Un loup mâle adulte a été tiré dans la nuit du 11 au 12 janvier sur le territoire de la commune de Montricher. Cette action de régulation, menée par des agents du corps de Police faune-nature de la Direction générale de l’environnement, s’inscrit dans le cadre de la décision, entrée en force au 1er décembre, de réguler le mâle géniteur de la meute du Mont-Tendre. En application de la nouvelle ordonnance fédérale sur la chasse, la Confédération avait en effet autorisé le Canton à cibler cet individu considéré comme particulièrement nuisible. L’autorisation de tir courait jusqu’au 31 janvier de cette année.
Le tir a été effectué conformément aux exigences de l’OFEV. Le corps a été envoyé à l’Institut de pathologie animale (FIWI) de l’université de Berne. Les analyses ADN permettront de confirmer si l’animal régulé est le mâle reproducteur de la meute du Mont Tendre (M351).
C'est comme ça que Kaj Granlund écrit sur les loups, et il sait de quoi il parle !
Gardez à l'esprit que les loups que nous avons dans les pays scandinaves sont nettement plus grands et plus puissants qu'en Inde, par exemple.
Les soi-disant « câlins de loups » et les experts en Suède font souvent référence au fait que « nous n'avons pas eu de convulsions ici depuis plus de cent ans », mais ce n'est pas trop étrange parce que nous n'avions pas eu de loup !!!!
Ce n'est que dans les 20 dernières années que les loups sont venus et leur nombre a augmenté.
Plus il y en a, plus il y a de chances que nous ayons des crises même ici.
Kaj Granlund écrit ce qui suit :
Le loup ne voit pas la différence entre un humain et un chien, mais il prend l'animal qu'il a appris à attraper.
Les ambassadeurs des loups se disent la bande de jeunes récompensés pour avoir diffusé des informations "facts" sur le loup aux écoliers. J'ai moi-même étudié le loup pendant plusieurs années, donné des conférences sur le loup dans différents pays et écrit un livre sur le loup (Europe du loup) publié en trois langues. Légèrement amusé par l'enthousiasme et la vague d'euphorie qui balayent l'Europe, je me sens obligé de participer au débat.
Nous connaissons le dicton "La seule chose que nous apprenons de l'histoire, c'est que nous n'apprenons rien" et le loup en est J'ai étudié des centaines d'histoires et de sections de littérature scientifique datant du début du 18e siècle, mais je n'ai trouvé aucun équivalent à la propagande selon laquelle les colons modernes vénèrent le dieu loup.
L'histoire parle d'elle-même. En Russie, les loups ont tué environ 15 000 personnes entre 1800 et 1876. En France, le professeur Jean-Marc Moriceau a trouvé 9 031 personnes tuées par des loups, dont environ la moitié ont été postées sur Internet avec des images scannées décrivant les attaques. Dans des pays comme l'Inde, le Pakistan et l'Iran, les loups tuent principalement des enfants et il existe des rapports scientifiques décrivant comment les loups ont tué 76 enfants dans l'État de l'Uttar Pradesh en Inde en mars 1996. 80 enfants ont été attaqués par des loups et 60 sont morts dans la région de Hazaribagh. Ceci s'est produit entre avril 1993 et avril 1995 et est connu sous le nom de levage d'enfants en Inde.
Plusieurs scientifiques russes ont étudié les attaques de loups contre des humains, et un rapport effrayant sur ces attaques a été publié en 1990 par le professeur Sergei Korytin. Les scientifiques russes bien connus Krushinsky et Bibikov ont tous deux conclu que 30 % des loups ont le potentiel d'attaquer les humains. M. Pavlov pense que la chance qu'un être humain soit attaqué par un loup est directement liée à la taille de la population de loups. Tous les chercheurs font également remarquer que le loup est généralement inoffensif et ressemblant à un chien jusqu'à ce qu'il soit sexuellement mature à l'âge de 2-3 ans.
Le loup est un prédateur qui tue souvent pour tuer, et ce comportement a été décrit par Pavlov «On dirait que le loup essaie instinctivement de s'approvisionner sur une réserve qu'il n'utilisera jamais. " "
Dans l'Europe d'aujourd'hui, il y a beaucoup d'exemples de loups contrôlant leurs proies. En juin 2010, les loups en France ont tué 593 moutons en une nuit. Quelques années plus tard, je trouve un rapport sur la façon dont les loups en France ont tué 435 moutons et deux chiens de garde de bétail pendant la nuit. Dans le Wyoming, aux États-Unis, une meute de loups a tué 19 orignaux sans goûter un seul élan. C'est arrivé au printemps dernier.
Les loups mangent leurs victimes vivantes. Voici ce qui s'est passé quand le géologue Kenton Joel Carnegie a été mangé par des loups en Ontario, au Canada et ce qui s’est passé quand un jeune cheval a été tué par des loups, en Finlande en 2015. Youtube regorge de preuves de ce comportement.
L'aspect le plus effrayant du message des ambassadeurs du loup est la croyance que les humains ne sont pas des proies potentielles pour les loups. Le loup ne voit aucune différence entre un humain et un chien et attrapera l'animal qu'il a appris à attraper. La seule chose qui pourrait empêcher les loups d'attaquer les gens, c'est l'énorme gamme de parfums, déodorants et détergents répandus par les citadins dans nos campagnes.
J'espère vraiment que nous ne sommes pas si naïfs pour penser que les loups ont soudainement changé leur comportement. La cause des conflits entre humains et loups dans le passé est toujours là. Il n'y a que l'homme qui s'est égaré aux monstres béton des grandes villes et de son balcon étudie la nature à travers un rideau de couleur rose.
Quai de Granlund
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Gardez à l'esprit que les loups que nous avons dans les pays scandinaves sont nettement plus grands et plus puissants qu'en Inde, par exemple.
Les soi-disant « câlins de loups » et les experts en Suède font souvent référence au fait que « nous n'avons pas eu de convulsions ici depuis plus de cent ans », mais ce n'est pas trop étrange parce que nous n'avions pas eu de loup !!!!
Ce n'est que dans les 20 dernières années que les loups sont venus et leur nombre a augmenté.
Plus il y en a, plus il y a de chances que nous ayons des crises même ici.
Kaj Granlund écrit ce qui suit :
Le loup ne voit pas la différence entre un humain et un chien, mais il prend l'animal qu'il a appris à attraper.
Les ambassadeurs des loups se disent la bande de jeunes récompensés pour avoir diffusé des informations "facts" sur le loup aux écoliers. J'ai moi-même étudié le loup pendant plusieurs années, donné des conférences sur le loup dans différents pays et écrit un livre sur le loup (Europe du loup) publié en trois langues. Légèrement amusé par l'enthousiasme et la vague d'euphorie qui balayent l'Europe, je me sens obligé de participer au débat.
Nous connaissons le dicton "La seule chose que nous apprenons de l'histoire, c'est que nous n'apprenons rien" et le loup en est J'ai étudié des centaines d'histoires et de sections de littérature scientifique datant du début du 18e siècle, mais je n'ai trouvé aucun équivalent à la propagande selon laquelle les colons modernes vénèrent le dieu loup.
L'histoire parle d'elle-même. En Russie, les loups ont tué environ 15 000 personnes entre 1800 et 1876. En France, le professeur Jean-Marc Moriceau a trouvé 9 031 personnes tuées par des loups, dont environ la moitié ont été postées sur Internet avec des images scannées décrivant les attaques. Dans des pays comme l'Inde, le Pakistan et l'Iran, les loups tuent principalement des enfants et il existe des rapports scientifiques décrivant comment les loups ont tué 76 enfants dans l'État de l'Uttar Pradesh en Inde en mars 1996. 80 enfants ont été attaqués par des loups et 60 sont morts dans la région de Hazaribagh. Ceci s'est produit entre avril 1993 et avril 1995 et est connu sous le nom de levage d'enfants en Inde.
Plusieurs scientifiques russes ont étudié les attaques de loups contre des humains, et un rapport effrayant sur ces attaques a été publié en 1990 par le professeur Sergei Korytin. Les scientifiques russes bien connus Krushinsky et Bibikov ont tous deux conclu que 30 % des loups ont le potentiel d'attaquer les humains. M. Pavlov pense que la chance qu'un être humain soit attaqué par un loup est directement liée à la taille de la population de loups. Tous les chercheurs font également remarquer que le loup est généralement inoffensif et ressemblant à un chien jusqu'à ce qu'il soit sexuellement mature à l'âge de 2-3 ans.
Le loup est un prédateur qui tue souvent pour tuer, et ce comportement a été décrit par Pavlov «On dirait que le loup essaie instinctivement de s'approvisionner sur une réserve qu'il n'utilisera jamais. " "
Dans l'Europe d'aujourd'hui, il y a beaucoup d'exemples de loups contrôlant leurs proies. En juin 2010, les loups en France ont tué 593 moutons en une nuit. Quelques années plus tard, je trouve un rapport sur la façon dont les loups en France ont tué 435 moutons et deux chiens de garde de bétail pendant la nuit. Dans le Wyoming, aux États-Unis, une meute de loups a tué 19 orignaux sans goûter un seul élan. C'est arrivé au printemps dernier.
Les loups mangent leurs victimes vivantes. Voici ce qui s'est passé quand le géologue Kenton Joel Carnegie a été mangé par des loups en Ontario, au Canada et ce qui s’est passé quand un jeune cheval a été tué par des loups, en Finlande en 2015. Youtube regorge de preuves de ce comportement.
L'aspect le plus effrayant du message des ambassadeurs du loup est la croyance que les humains ne sont pas des proies potentielles pour les loups. Le loup ne voit aucune différence entre un humain et un chien et attrapera l'animal qu'il a appris à attraper. La seule chose qui pourrait empêcher les loups d'attaquer les gens, c'est l'énorme gamme de parfums, déodorants et détergents répandus par les citadins dans nos campagnes.
J'espère vraiment que nous ne sommes pas si naïfs pour penser que les loups ont soudainement changé leur comportement. La cause des conflits entre humains et loups dans le passé est toujours là. Il n'y a que l'homme qui s'est égaré aux monstres béton des grandes villes et de son balcon étudie la nature à travers un rideau de couleur rose.
Quai de Granlund
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Loup : le Conseil fédéral met en vigueur la régulation préventive des meutes
Le 29 septembre, un feu de soutien aux éleveurs aura lieu
Route de la Lanche 150 au Bouveret chez Laurent Brügger dès 19h
Soyez nombreux à vous déplacer!
Les médias et les politiques seront présents.
Merci à l'équipe d'organisation!
Tirs de deux jeunes loups de la meute du Mont-Tendre
Initiative populaire fédérale pour la régulation du loup
Manifeste
-> vidéo Et si l'on parlait du loup
Interpellation de Jacques Nicolet Conseiller national
Alors que j'avais déjà mentionné dans ce plénum, le cas d'un éleveur du canton de Vaud qui avait repoussé avec l'aide de sa famille une attaque de plusieurs loups sur son troupeau de bovins laitiers, cette semaine c'est le témoignage d'une éleveuse, menacée par un loup alors qu'elle faisait face à une attaque de loup sur son troupeau ovin à l'aube dans l'enceinte de sa ferme du canton de Vaud, qui nous fait prendre encore plus conscience du risque encouru par les éleveurs qui tenteraient de s'interposer pour protéger leurs animaux lors d'une attaque de loup. Sachant que la Confédération a validé le retour du loup et qu'elle alloue des moyens permettant d'indemniser les mesures de protection pour les troupeaux ainsi que les pertes d'animaux, les éventuels dommages et intérêts en cas d'attaques sur des humains n'apparaissent nulle part.
Mes questions :
Le Conseil fédéral est-il conscient des risques encourus par les éleveurs qui tenteraient de repousser une attaque de loup afin de protéger leurs animaux ?
A qui incombe la responsabilité et le paiement des éventuels frais médicaux au cas où un éleveur serait blessé lors d'une attaque de loup alors qu'il tente de protéger son troupeau ?
A qui incombe la responsabilité et le paiement des éventuels dommages et intérêts au cas où un humain viendrait à décéder lors d'une attaque de loup alors qu'il tente de protéger son troupeau ?
Je remercie le Conseil fédéral pour les réponses qu'il pourra apporter à mes questions.
ERIC LEBEC RÉVÈLE L'IMPLICATION DE L’ONC/ONCFS DANS LA RÉINTRODUCTION DES LOUPS.
Bruno Leconmte
Voici le témoignage très important d’ Eric LEBEC, ancien employé de l'administration qui révèle que l’ONCFS (ancienne organisation de l’OFB) savait que des loups avaient été réintroduits. “L’ONCFS était heureux, content et actif dans la réintroduction des loups”.
Il explique tout cela dans l'interview, faite en décembre 2022 , en forêt de Rambouillet. Il avait des instructions sur l'interdiction de diffusion d’information mais il a décidé de ne plus suivre ces instructions.
Il dénonce une politique d'administration d’état , qu’il qualifie “d’illégale , d’un coût exorbitant pour la collectivité nationale, c’est une politique extrêmement dangereuse , extrêmement légère et inconséquente “
Il ajoute aussi en commentaire de son interview “Si les services scientifiques et techniques avaient été saisis dès le début , on aurait eu des informations précises sur l’hybridation et sur l'origine de ces loups. Si on avait eu ces informations dès le début , ces services de l'ONCFS auraient donc dû interdire l'arrivée naturelle ou l’introduction active de ces soit-disant “loups” “.
Eric Lebec se tient à disposition de toute personne qui s'intéresse au sujet. Vous pouvez le contacter par email à [email protected]
Bruno Leconmte
Voici le témoignage très important d’ Eric LEBEC, ancien employé de l'administration qui révèle que l’ONCFS (ancienne organisation de l’OFB) savait que des loups avaient été réintroduits. “L’ONCFS était heureux, content et actif dans la réintroduction des loups”.
Il explique tout cela dans l'interview, faite en décembre 2022 , en forêt de Rambouillet. Il avait des instructions sur l'interdiction de diffusion d’information mais il a décidé de ne plus suivre ces instructions.
Il dénonce une politique d'administration d’état , qu’il qualifie “d’illégale , d’un coût exorbitant pour la collectivité nationale, c’est une politique extrêmement dangereuse , extrêmement légère et inconséquente “
Il ajoute aussi en commentaire de son interview “Si les services scientifiques et techniques avaient été saisis dès le début , on aurait eu des informations précises sur l’hybridation et sur l'origine de ces loups. Si on avait eu ces informations dès le début , ces services de l'ONCFS auraient donc dû interdire l'arrivée naturelle ou l’introduction active de ces soit-disant “loups” “.
Eric Lebec se tient à disposition de toute personne qui s'intéresse au sujet. Vous pouvez le contacter par email à [email protected]
Voici le lien pour la diffusion en direct le 29 novembre à 08h50:
https://www.youtube.com/watch?v=W0AYNOuy1MU
https://www.youtube.com/watch?v=W0AYNOuy1MU
Une bonne nouvelle qui doit encore passer par le National!
Les loups doivent pouvoir être tirés préventivement s'ils représentent un danger. Le Conseil des Etats a adopté jeudi par 31 voix contre 6 un projet de révision de la loi sur la chasse qui vise une régulation plus flexible de ces prédateurs.
CONSEIL FÉDÉRAL D'ACCORD
L'élimination de meutes ou d'individus doit être autorisée, là où l'agriculture est menacée. Les gardes-chasse pourront abattre les loups qui s'approchent de façon menaçante des zones habitées et des êtres humains, ou pour lesquels les mesures de protection des troupeaux sont inefficaces.
Le Conseil fédéral n'a pas opposé d'objection. La seule protection des troupeaux ne suffit pas. La législation en vigueur, qui n'admet la régulation du loup qu'après l'apparition d'importants dommages ou d’un grave danger, est trop stricte, a relevé la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga.
Les loups doivent pouvoir être tirés préventivement s'ils représentent un danger. Le Conseil des Etats a adopté jeudi par 31 voix contre 6 un projet de révision de la loi sur la chasse qui vise une régulation plus flexible de ces prédateurs.
CONSEIL FÉDÉRAL D'ACCORD
L'élimination de meutes ou d'individus doit être autorisée, là où l'agriculture est menacée. Les gardes-chasse pourront abattre les loups qui s'approchent de façon menaçante des zones habitées et des êtres humains, ou pour lesquels les mesures de protection des troupeaux sont inefficaces.
Le Conseil fédéral n'a pas opposé d'objection. La seule protection des troupeaux ne suffit pas. La législation en vigueur, qui n'admet la régulation du loup qu'après l'apparition d'importants dommages ou d’un grave danger, est trop stricte, a relevé la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga.
Pour le canton de Vaud, le feu de soutien du
30 septembre prochain aura lieu au Mt-Tendre dès 19h00
Merci de venir soutenir les éleveurs qui perdent de plus en plus d’animaux de rente à cause du loup. Soyons solidaire et démontrons notre détermination.
PS : Le feu sera monté le vendredi 23 septembre dans l’après-midi. Rendez-vous 14h au Mt Tendre. La manifestation aura lieu le 30 vendredi d’après dès 19h. Merci de nous aider à préparer le feu ce vendredi après-midi et faites de la pub pour le vendredi suivant.
Nous comptons sur vous ! 2h de travail ce vendredi.. Merci de me communiquer votre présence par mail: Association ARRGP
PS : Le feu sera monté le vendredi 23 septembre dans l’après-midi. Rendez-vous 14h au Mt Tendre. La manifestation aura lieu le 30 vendredi d’après dès 19h. Merci de nous aider à préparer le feu ce vendredi après-midi et faites de la pub pour le vendredi suivant.
Nous comptons sur vous ! 2h de travail ce vendredi.. Merci de me communiquer votre présence par mail: Association ARRGP
Canton de Vaud
Berger accablé par les attaques de loup : 1300 moutons amenés dans la vallée au pied levé
Lundi, 1300 moutons seront ramenés de la Börteralp à Klosters à court terme. La raison en est un grand nombre de fissures de loup au cours des dernières semaines.
Un grand nombre de moutons ont été tués dans la municipalité de Klosters. (image d'icône)
© Getty ImagesLes bergers étaient mentalement et physiquement épuisés et certains ont dû rentrer chez eux, écrit la commune de Klosters dans un communiqué. Au cours des dernières semaines et des derniers jours, il y a eu plusieurs déchirures de moutons sur le territoire communal, la Börteralp en particulier étant touchée. Les chiens de garde du bétail sont épuisés et les moutons sont terrifiés.
Le nombre de fissures a maintenant dépassé le niveau acceptable, poursuit la communauté. Le Schafalp sera donc dessalé au pied levé lundi. 1300 moutons sont amenés dans la vallée et transportés par camion.
Lundi, 1300 moutons seront ramenés de la Börteralp à Klosters à court terme. La raison en est un grand nombre de fissures de loup au cours des dernières semaines.
Un grand nombre de moutons ont été tués dans la municipalité de Klosters. (image d'icône)
© Getty ImagesLes bergers étaient mentalement et physiquement épuisés et certains ont dû rentrer chez eux, écrit la commune de Klosters dans un communiqué. Au cours des dernières semaines et des derniers jours, il y a eu plusieurs déchirures de moutons sur le territoire communal, la Börteralp en particulier étant touchée. Les chiens de garde du bétail sont épuisés et les moutons sont terrifiés.
Le nombre de fissures a maintenant dépassé le niveau acceptable, poursuit la communauté. Le Schafalp sera donc dessalé au pied levé lundi. 1300 moutons sont amenés dans la vallée et transportés par camion.
Bonjour à vous tous!
Réservez la date du 30 septembre 2022
pour participer aux feux de soutien européen que nous allumerons certainement mais on ne sait pas encore où !
Merci.
www.youtube.com
Un loup tue un garçon de 9 ans et blesse gravement son ami
Un garçon de neuf ans est mort et un autre a été horriblement blessé après qu'un loup a attaqué le duo alors qu'ils nageaient près d'une forêt.
Des images choquantes des blessures du garçon survivant montrent comment le loup a arraché des morceaux de chair de son cou et de sa jambe.
Le corps sauvage de son ami a été retrouvé plus tard dans une zone boisée après que le loup l'ait entraîné lors de l'attaque à Kidero, au Daghestan, dans le sud de la Russie, le 28 juillet.
Un troisième ami s'en est sorti indemne.
Les enfants, âgés de sept à neuf ans, nageaient lorsqu'ils ont été confrontés au loup.
Des photographies macabres du garçon blessé, prises à l'hôpital, montrent un morceau de chair qui pend de son cou.
Un autre montre une énorme blessure béante dans ce qui ressemble à sa jambe.
Il devait être transféré dans un plus grand hôpital de la capitale régionale, Makhatchkala, le 29 juillet.
Dans un communiqué obtenu par Zenger News le jeudi 28 juillet, le ministère de l'Intérieur du Daghestan a déclaré : "Une terrible tragédie s'est produite aujourd'hui dans le district de Tsuntinsky de la république.
"Vers 15 heures, le service de garde du ministère russe des Affaires intérieures du district de Tsuntinsky a reçu un message indiquant qu'en face du village de Kidero, district de Tsuntinsky, dans la région de Rekuh, trois enfants âgés de sept à neuf ans ont été attaqués. par un loup sorti de la forêt.
"Les enfants à ce moment-là se baignaient dans les eaux dormantes de la rivière. Un garçon a été mordu par l'animal sauvage (l'enfant a été hospitalisé), un autre a réussi à s'échapper et le troisième, un garçon de neuf ans, a été emmené par l'animal sauvage et emporté dans la forêt.
"Toutes les forces ont été lancées à la recherche de l'enfant : la police et les riverains ont ratissé le secteur, une heure plus tard le corps de l'enfant a été retrouvé à l'autre bout de la forêt."
Le ministère a ajouté : "Nos plus sincères condoléances à la famille et aux amis du garçon décédé ! Prompt rétablissement à l'enfant blessé."
Un garçon de neuf ans est mort et un autre a été horriblement blessé après qu'un loup a attaqué le duo alors qu'ils nageaient près d'une forêt.
Des images choquantes des blessures du garçon survivant montrent comment le loup a arraché des morceaux de chair de son cou et de sa jambe.
Le corps sauvage de son ami a été retrouvé plus tard dans une zone boisée après que le loup l'ait entraîné lors de l'attaque à Kidero, au Daghestan, dans le sud de la Russie, le 28 juillet.
Un troisième ami s'en est sorti indemne.
Les enfants, âgés de sept à neuf ans, nageaient lorsqu'ils ont été confrontés au loup.
Des photographies macabres du garçon blessé, prises à l'hôpital, montrent un morceau de chair qui pend de son cou.
Un autre montre une énorme blessure béante dans ce qui ressemble à sa jambe.
Il devait être transféré dans un plus grand hôpital de la capitale régionale, Makhatchkala, le 29 juillet.
Dans un communiqué obtenu par Zenger News le jeudi 28 juillet, le ministère de l'Intérieur du Daghestan a déclaré : "Une terrible tragédie s'est produite aujourd'hui dans le district de Tsuntinsky de la république.
"Vers 15 heures, le service de garde du ministère russe des Affaires intérieures du district de Tsuntinsky a reçu un message indiquant qu'en face du village de Kidero, district de Tsuntinsky, dans la région de Rekuh, trois enfants âgés de sept à neuf ans ont été attaqués. par un loup sorti de la forêt.
"Les enfants à ce moment-là se baignaient dans les eaux dormantes de la rivière. Un garçon a été mordu par l'animal sauvage (l'enfant a été hospitalisé), un autre a réussi à s'échapper et le troisième, un garçon de neuf ans, a été emmené par l'animal sauvage et emporté dans la forêt.
"Toutes les forces ont été lancées à la recherche de l'enfant : la police et les riverains ont ratissé le secteur, une heure plus tard le corps de l'enfant a été retrouvé à l'autre bout de la forêt."
Le ministère a ajouté : "Nos plus sincères condoléances à la famille et aux amis du garçon décédé ! Prompt rétablissement à l'enfant blessé."
Six victimes du loup depuis le début du mois de juillet
Les loups récidivistes seront abattus dans les Grisons et en Valais
Appel à déserter - Remise des diplômes AgroParisTech 2022
Des agros qui bifurquent
Chers Madame la Directrice et Monsieur Schnidrig,
Hier, j'étais perplexe, puis plus tard dans la journée, j'étais en colère et déçu. Si l'on exclut les alpages non protégés (70 % au Tessin, 60 % au VS, Uri, GR), cela signifie décréter l'abandon d'un grand nombre d'alpages isolés, l'abandon des terres, la poursuite de la dégradation du paysage et de la nature sauvage, etc. Tant vous que l'OFAG ne pouvez pas proposer une telle exclusion, qui est contraire à toutes les bonnes règles suisses de soutien au secteur primaire, notamment celui en difficulté. J'aimerais savoir quels cantons approuvent l'exclusion des "alpages non protégés" du soutien. Au Tessin, de nombreux propriétaires vendent leur bétail, abandonnent les alpages et y réfléchissent. UNE TRAGEDIE. Et vous, à Berne, vous facilitez cette situation ? Hier, vous avez proposé d'envisager un assouplissement des mesures d'abattage préventif des loups qui se sont installés trop près des habitations. Il faut vraiment y penser, sinon nos concitoyens sauront prendre eux-mêmes des mesures de régulation. J'ai également mentionné un "tiroir" avec un crédit pour les mesures d'aide psychologique aux agriculteurs touchés par la prédation. Des mesures d'aide importantes, non pas financières, mais humaines. Je vous ai également dit que nos agriculteurs dans les vallées auraient dû laisser leur bétail paître librement depuis des semaines maintenant. Ils les gardent encore dans des étables ou dans des enclos exigus où il n'y a plus rien à manger. Et ce, jusqu'à ce que. Ils se demandent si dans un mois ils pourront monter dans les alpages et les Alpes ! Le problème de l'achat de fourrage se pose immédiatement, puis en fin de saison. Les 5,7 millions doivent également être utilisés pour ces mesures, des mesures nouvelles, imprévues il y a encore quelques semaines. Le pays a besoin de mesures concrètes, immédiates et agiles, et non de bureaucratie et d'autres mesures.
Le 26 avril, face à la catastrophe de Pièdipiodi à Cerentino, j'ai organisé la marche vers Bellinzona avec les " cadavres de moutons ", maintenant il est question d'amener sur la place fédérale des moutons, des chèvres, des vaches, des veaux, des ânes, des poulains... Je ne souhaite pas ces actions, mais s'il le faut pour secouer la politique, l'administration, l'opinion publique, nous sommes maintenant prêts à tout pour sauver notre secteur primaire, le plus fragile en particulier.
De demain après-midi à jeudi après-midi je serai à Berne, si vous voulez discuter je suis à votre disposition.
Excusez mon impétuosité, j'espère que vous ne la trouverez pas impolie.
. Germano Mattei, coprésident de l'Association suisse pour la protection du territoire contre les
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Hier, j'étais perplexe, puis plus tard dans la journée, j'étais en colère et déçu. Si l'on exclut les alpages non protégés (70 % au Tessin, 60 % au VS, Uri, GR), cela signifie décréter l'abandon d'un grand nombre d'alpages isolés, l'abandon des terres, la poursuite de la dégradation du paysage et de la nature sauvage, etc. Tant vous que l'OFAG ne pouvez pas proposer une telle exclusion, qui est contraire à toutes les bonnes règles suisses de soutien au secteur primaire, notamment celui en difficulté. J'aimerais savoir quels cantons approuvent l'exclusion des "alpages non protégés" du soutien. Au Tessin, de nombreux propriétaires vendent leur bétail, abandonnent les alpages et y réfléchissent. UNE TRAGEDIE. Et vous, à Berne, vous facilitez cette situation ? Hier, vous avez proposé d'envisager un assouplissement des mesures d'abattage préventif des loups qui se sont installés trop près des habitations. Il faut vraiment y penser, sinon nos concitoyens sauront prendre eux-mêmes des mesures de régulation. J'ai également mentionné un "tiroir" avec un crédit pour les mesures d'aide psychologique aux agriculteurs touchés par la prédation. Des mesures d'aide importantes, non pas financières, mais humaines. Je vous ai également dit que nos agriculteurs dans les vallées auraient dû laisser leur bétail paître librement depuis des semaines maintenant. Ils les gardent encore dans des étables ou dans des enclos exigus où il n'y a plus rien à manger. Et ce, jusqu'à ce que. Ils se demandent si dans un mois ils pourront monter dans les alpages et les Alpes ! Le problème de l'achat de fourrage se pose immédiatement, puis en fin de saison. Les 5,7 millions doivent également être utilisés pour ces mesures, des mesures nouvelles, imprévues il y a encore quelques semaines. Le pays a besoin de mesures concrètes, immédiates et agiles, et non de bureaucratie et d'autres mesures.
Le 26 avril, face à la catastrophe de Pièdipiodi à Cerentino, j'ai organisé la marche vers Bellinzona avec les " cadavres de moutons ", maintenant il est question d'amener sur la place fédérale des moutons, des chèvres, des vaches, des veaux, des ânes, des poulains... Je ne souhaite pas ces actions, mais s'il le faut pour secouer la politique, l'administration, l'opinion publique, nous sommes maintenant prêts à tout pour sauver notre secteur primaire, le plus fragile en particulier.
De demain après-midi à jeudi après-midi je serai à Berne, si vous voulez discuter je suis à votre disposition.
Excusez mon impétuosité, j'espère que vous ne la trouverez pas impolie.
. Germano Mattei, coprésident de l'Association suisse pour la protection du territoire contre les
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Les gardiens de pâturage sont poussés dans l'illégalité
L'Association suisse pour la protection des habitats ruraux contre les grands carnivores contacte la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga car le nombre de loups tués est déjà en augmentation. Le GWS décrit la situation complètement différemment.
L'Association suisse pour la protection des habitats ruraux contre les grands carnivores (VSLvGRT) se demande actuellement si l'élevage suisse peut encore être sauvé. C'est le titre de la lettre ouverte de l'association à la ministre de l'Environnement Simonetta Sommaruga. La situation est grave, selon les descriptions : dans le court laps de temps qui s'est écoulé depuis le début de la saison de pâturage de cette année, les animaux tués par les loups ont " massivement augmenté " à travers le pays.
80 animaux dans deux cantons
Le VSLvGRT continue que la grande majorité des attaques de loups se sont produites au milieu de la zone de peuplement. Au Tessin, la perte de plus de 50 têtes de bétail est à déplorer, dans le canton du Valais bien plus de 30. Dans une action illégale, les éleveurs tessinois ont exprimé leur désespoir fin avril et ont jeté des dizaines de mères et d'agneaux tués par le loup devant le bâtiment du gouvernement à Bellinzona.
Les propriétaires d'animaux pourraient agir illégalement
Si la situation continue de se détériorer, l'association estime qu'il est probable que les éleveurs prennent les choses en main pour protéger leurs animaux. Ils seraient contraints à l'illégalité, selon l'avertissement. Bien que l'on soit conscient du travail des autorités en matière de loups, comme la révision du règlement sur les paiements directs et la mise en œuvre des mesures immédiates d'urgence réclamées par le Parlement. "Mais toutes ces mesures arrivent tardivement, sinon trop tard."
Des vallées entières pourraient disparaître
Le VSLvGRT exige de la Conseillère fédérale qu'elle exhorte à son tour les autorités cantonales à délivrer les autorisations de tournage rapidement et sans bureaucratie conformément au droit applicable. De plus, les meutes de loups avec des zones d'itinérance à proximité des colonies devraient être réglementées "immédiatement et efficacement".
"Sans la possibilité et la perspective de contrer l'augmentation massive des attaques de loups, l'incertitude de la population touchée augmente à un niveau insupportable", poursuit-il. En conséquence, le mandat constitutionnel de garder les pâturages de montagne et alpins ouverts et entretenus, ainsi que l'habitat décentralisé, ne pouvaient plus être garantis. Au final, des commerces seraient abandonnés et des communautés entières de la vallée disparaîtraient, prévient l'association.
"Les loups suisses restent bons"
La description de la situation du loup dans ce pays semble assez différente de celle du groupe Wolf Schweiz (GWS). Elle souligne que le nombre de bêtes mortes est faible à environ six par loup en 2021, même la valeur la plus faible depuis de nombreuses années. Au tournant du millénaire, six loups ont tué plus de 200 têtes de bétail, en 2021 il y avait 148 loups mais "seulement" 853 tués. "Ainsi, 20 fois plus de loups n'ont causé que quatre fois plus de larmes", déclare le GWS.
La réglementation ne protège pas
Pour le groupe, c'est un signe clair que la protection des troupeaux fonctionne. Contrairement à la réglementation, qui n'a pas d'effet protecteur prouvé. En même temps, il ne fait aucun doute pour eux que sans mesures de protection, il n'y a pas d'avenir pour le pâturage estival des animaux. C'est notamment le cas des Alpes déclarées « non protégeables ». L'augmentation de la population de loups mettrait ceux-ci sous une pression qu'ils ne pourraient pas supporter à long terme. "Il y a aussi des problèmes de bien-être animal pour ces Alpes, car les propriétaires doivent protéger leurs animaux des dangers connus." L'objectif premier doit donc être de rendre les Alpes qui ne pourront pas être protégées économiquement à l'avenir. "La protection accrue des troupeaux n'est pas une solution temporaire, mais une nouvelle réalité", a conclu le GWS.
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L'Association suisse pour la protection des habitats ruraux contre les grands carnivores contacte la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga car le nombre de loups tués est déjà en augmentation. Le GWS décrit la situation complètement différemment.
L'Association suisse pour la protection des habitats ruraux contre les grands carnivores (VSLvGRT) se demande actuellement si l'élevage suisse peut encore être sauvé. C'est le titre de la lettre ouverte de l'association à la ministre de l'Environnement Simonetta Sommaruga. La situation est grave, selon les descriptions : dans le court laps de temps qui s'est écoulé depuis le début de la saison de pâturage de cette année, les animaux tués par les loups ont " massivement augmenté " à travers le pays.
80 animaux dans deux cantons
Le VSLvGRT continue que la grande majorité des attaques de loups se sont produites au milieu de la zone de peuplement. Au Tessin, la perte de plus de 50 têtes de bétail est à déplorer, dans le canton du Valais bien plus de 30. Dans une action illégale, les éleveurs tessinois ont exprimé leur désespoir fin avril et ont jeté des dizaines de mères et d'agneaux tués par le loup devant le bâtiment du gouvernement à Bellinzona.
Les propriétaires d'animaux pourraient agir illégalement
Si la situation continue de se détériorer, l'association estime qu'il est probable que les éleveurs prennent les choses en main pour protéger leurs animaux. Ils seraient contraints à l'illégalité, selon l'avertissement. Bien que l'on soit conscient du travail des autorités en matière de loups, comme la révision du règlement sur les paiements directs et la mise en œuvre des mesures immédiates d'urgence réclamées par le Parlement. "Mais toutes ces mesures arrivent tardivement, sinon trop tard."
Des vallées entières pourraient disparaître
Le VSLvGRT exige de la Conseillère fédérale qu'elle exhorte à son tour les autorités cantonales à délivrer les autorisations de tournage rapidement et sans bureaucratie conformément au droit applicable. De plus, les meutes de loups avec des zones d'itinérance à proximité des colonies devraient être réglementées "immédiatement et efficacement".
"Sans la possibilité et la perspective de contrer l'augmentation massive des attaques de loups, l'incertitude de la population touchée augmente à un niveau insupportable", poursuit-il. En conséquence, le mandat constitutionnel de garder les pâturages de montagne et alpins ouverts et entretenus, ainsi que l'habitat décentralisé, ne pouvaient plus être garantis. Au final, des commerces seraient abandonnés et des communautés entières de la vallée disparaîtraient, prévient l'association.
"Les loups suisses restent bons"
La description de la situation du loup dans ce pays semble assez différente de celle du groupe Wolf Schweiz (GWS). Elle souligne que le nombre de bêtes mortes est faible à environ six par loup en 2021, même la valeur la plus faible depuis de nombreuses années. Au tournant du millénaire, six loups ont tué plus de 200 têtes de bétail, en 2021 il y avait 148 loups mais "seulement" 853 tués. "Ainsi, 20 fois plus de loups n'ont causé que quatre fois plus de larmes", déclare le GWS.
La réglementation ne protège pas
Pour le groupe, c'est un signe clair que la protection des troupeaux fonctionne. Contrairement à la réglementation, qui n'a pas d'effet protecteur prouvé. En même temps, il ne fait aucun doute pour eux que sans mesures de protection, il n'y a pas d'avenir pour le pâturage estival des animaux. C'est notamment le cas des Alpes déclarées « non protégeables ». L'augmentation de la population de loups mettrait ceux-ci sous une pression qu'ils ne pourraient pas supporter à long terme. "Il y a aussi des problèmes de bien-être animal pour ces Alpes, car les propriétaires doivent protéger leurs animaux des dangers connus." L'objectif premier doit donc être de rendre les Alpes qui ne pourront pas être protégées économiquement à l'avenir. "La protection accrue des troupeaux n'est pas une solution temporaire, mais une nouvelle réalité", a conclu le GWS.
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Des éleveurs tessinois en colère
«J'ai vu trois loups s'attaquer à mes bêtes, que fait le canton?»
«J'ai vu trois loups s'attaquer à mes bêtes, que fait le canton?»
Protection des troupeaux: critères en examen
Alors que la loi sur la chasse est en cours de révision à Berne, les cantons alpins veulent des critères clairs pour la protection des troupeaux face aux attaques de loup. Ils revoient ceux qui devraient être appliqués cet été en vue de l'obtention d'indemnités et de la délivrance des autorisations de tir (photo d'illustration: Pixabay).
Ces critères sont fondés sur les premiers résultats des bases détaillées sur la gestion du loup et la protection des troupeaux établis par les cantons alpins, a indiqué jeudi la Conférence gouvernementale des cantons alpins. Ils doivent permettre la mise en œuvre de mesures pour la prochaine saison d'estivage. Onze meutes de loups vivent en Suisse et quatre évoluent dans des régions transfrontalières.
Concernant les coûts des mesures de protection, les cantons alpins estiment que le plafond s'élève à 600 francs par pâquier normal de douze moutons, soit une limite maximale de 50 francs par mouton. Sur les alpages de moins de dix pâquiers normaux (115 moutons), les coûts sont toutefois toujours plus importants, ce qui fait que ces alpages ne peuvent pas être raisonnablement protégés.
Démarches contraignantes
En raison des coûts de personnel élevés, la surveillance permanente des troupeaux n'est envisageable qu'à partir de 30 pâquiers normaux (350 moutons). En dessous de ce nombre, les alpages peuvent être protégés avec un système de pâturages tournants avec des chiens. Celui-ci n'est efficace que sur certaines surfaces, mais il ne l'est pas dans les Alpes centrales et méridionales où la végétation est pauvre et les pâturages étendus.
Pour les cantons alpins, tous les alpages à chèvres sont considérés comme ne pouvant pas être protégés, dans la mesure où les chèvres paissent généralement en liberté et souvent sur des terrains escarpés. Il n'est pas non plus nécessaire de protéger les troupeaux dans les alpages à bovins. Les clôtures spéciales lors de la mise à bas sont la seule mesure efficace.
Ces critères doivent à présent être définis avec la Confédération. La période d'estivage étant courte, la Conférence gouvernementale des cantons alpins veut que les autorisations de tir soient accordées rapidement. Les démarches administratives pour les obtenir sont actuellement trop contraignantes.
ATS, le 10 mars 2022
la_question_controv_dynam_reprod_loups_2_décembre_2019_.pdf | |
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Le loup n’en finit pas de coloniser le pays au grand dam des éleveurs
Bonjour à tous ! ET BONNE ANNÉE 2022
Notre Association Suisse, faîtière des Associations régionales, s’est beaucoup investie tout au long de l’année 2021 pour défendre les intérêts de nos éleveurs et la protection de notre territoire contre les grands prédateurs. Nous nous battrons en 2022 avec l’appui du SAB, (Le Groupement suisse pour les régions de montagne) avec l’appui de plusieurs Associations d’éleveurs et d’agriculteurs pour sauver notre patrimoine contre ces grands prédateurs.
Un groupe de Politiciens faisant partie des Chambres Fédérales défend nos positions en faisant pression sur le Département de Mme Sommaruga pour que les choses avancent afin d’obtenir des résultats avant l’estive de 2022. Le grand prédateur doit pouvoir être tenu à l’écart des troupeaux. Les indemnisations doivent aussi couvrir les animaux qui ne sont pas retrouvés, qui doivent être euthanasiés par la suite ou qui ont avorté. Tous les dégâts dus au grands prédateurs devraient être supportés par ceux qui les ont réintroduits.
Une solution doit aussi être trouvée pour protéger les bovins dans tous les pâturages. Il est inadmissible que la DGE du canton de Vaud n’ait pas mis à exécution la mise à mort des deux loups accordés par la Confédération. M. Landry qui détient un mandat de l’Etat de Vaud pour trouver des solutions, qui prône le tir de ces deux loups devant les agriculteurs mais qui retient par tous les moyens cette exécution doit voir son mandat auprès de l’Etat de Vaud immédiatement dénoncé. C’est le Grand Conseil Vaudois qui doit intervenir pour que ce biologiste soit mis à l’écart.
Chers (ères) membres, c’est grâce à votre contribution que nous pouvons défendre les intérêts des agriculteurs de montagne, défendre notre patrimoine, notre faunes sauvages contre ces écologistes des villes qui derrière leur bureau veulent détruire notre beau territoire. Nous vous disons MERCI et restons solidaire.
N’oubliez pas d’aller voir la carte européenne des prédations que nous avons soutenue financièrement. Chaque événement qui touche aux grands prédateurs doit être répertorié sur cette carte et c’est vous qui pouvez le faire. Il suffit de vous inscrire.
Accéder à la carte Voir l’évolution du loup: https://ep-map.com/
Dans l’attente de vous rencontrer durant l’année 2022, le Comité se joint à moi pour vous souhaiter une excellente année 2022. Que la santé et le bonheur vous accompagnent tous les jours de l’année à venir.
www.arrgp.weebly.com ou www.lr-grt.ch/ lien NUL
Notre Association Suisse, faîtière des Associations régionales, s’est beaucoup investie tout au long de l’année 2021 pour défendre les intérêts de nos éleveurs et la protection de notre territoire contre les grands prédateurs. Nous nous battrons en 2022 avec l’appui du SAB, (Le Groupement suisse pour les régions de montagne) avec l’appui de plusieurs Associations d’éleveurs et d’agriculteurs pour sauver notre patrimoine contre ces grands prédateurs.
Un groupe de Politiciens faisant partie des Chambres Fédérales défend nos positions en faisant pression sur le Département de Mme Sommaruga pour que les choses avancent afin d’obtenir des résultats avant l’estive de 2022. Le grand prédateur doit pouvoir être tenu à l’écart des troupeaux. Les indemnisations doivent aussi couvrir les animaux qui ne sont pas retrouvés, qui doivent être euthanasiés par la suite ou qui ont avorté. Tous les dégâts dus au grands prédateurs devraient être supportés par ceux qui les ont réintroduits.
Une solution doit aussi être trouvée pour protéger les bovins dans tous les pâturages. Il est inadmissible que la DGE du canton de Vaud n’ait pas mis à exécution la mise à mort des deux loups accordés par la Confédération. M. Landry qui détient un mandat de l’Etat de Vaud pour trouver des solutions, qui prône le tir de ces deux loups devant les agriculteurs mais qui retient par tous les moyens cette exécution doit voir son mandat auprès de l’Etat de Vaud immédiatement dénoncé. C’est le Grand Conseil Vaudois qui doit intervenir pour que ce biologiste soit mis à l’écart.
Chers (ères) membres, c’est grâce à votre contribution que nous pouvons défendre les intérêts des agriculteurs de montagne, défendre notre patrimoine, notre faunes sauvages contre ces écologistes des villes qui derrière leur bureau veulent détruire notre beau territoire. Nous vous disons MERCI et restons solidaire.
N’oubliez pas d’aller voir la carte européenne des prédations que nous avons soutenue financièrement. Chaque événement qui touche aux grands prédateurs doit être répertorié sur cette carte et c’est vous qui pouvez le faire. Il suffit de vous inscrire.
Accéder à la carte Voir l’évolution du loup: https://ep-map.com/
Dans l’attente de vous rencontrer durant l’année 2022, le Comité se joint à moi pour vous souhaiter une excellente année 2022. Que la santé et le bonheur vous accompagnent tous les jours de l’année à venir.
www.arrgp.weebly.com ou www.lr-grt.ch/ lien NUL
Bonjour à tous,
La campagne bat son plein en Valais en lien avec l'initiative cantonale pour la régulation des grands prédateurs.
Ce vote est observé bien au-delà des frontières valaisannes dont voici une petite revue de presse:
https://www.rts.ch/play/tv/forum/video/forum-video-presente-par-tania-sazpinar-et-thibaut-schaller?urn=urn:rts:video:12586628
https://www.rts.ch/info/regions/valais/12625710-linitiative-valaisanne-sur-les-grands-predateurs-veut-envoyer-un-signal-fort-a-berne.html
https://www.lenouvelliste.ch/articles/valais/canton/un-comite-sengage-pour-un-valais-sans-grands-predateurs-1126724
https://www.lematin.ch/story/cest-lheure-des-comptes-pour-les-22-loups-du-valais-694950602552
https://www.24heures.ch/dans-les-urnes-le-valais-va-crier-au-loup-531082499880
https://www.24heures.ch/le-loup-est-en-train-de-croquer-la-suisse-114399354987
https://www.rts.ch/info/regions/valais/12626757-sur-les-alpages-valaisans-les-moutons-coutent-plus-quils-ne-rapportent.html
Grégory Logean
La campagne bat son plein en Valais en lien avec l'initiative cantonale pour la régulation des grands prédateurs.
Ce vote est observé bien au-delà des frontières valaisannes dont voici une petite revue de presse:
https://www.rts.ch/play/tv/forum/video/forum-video-presente-par-tania-sazpinar-et-thibaut-schaller?urn=urn:rts:video:12586628
https://www.rts.ch/info/regions/valais/12625710-linitiative-valaisanne-sur-les-grands-predateurs-veut-envoyer-un-signal-fort-a-berne.html
https://www.lenouvelliste.ch/articles/valais/canton/un-comite-sengage-pour-un-valais-sans-grands-predateurs-1126724
https://www.lematin.ch/story/cest-lheure-des-comptes-pour-les-22-loups-du-valais-694950602552
https://www.24heures.ch/dans-les-urnes-le-valais-va-crier-au-loup-531082499880
https://www.24heures.ch/le-loup-est-en-train-de-croquer-la-suisse-114399354987
https://www.rts.ch/info/regions/valais/12626757-sur-les-alpages-valaisans-les-moutons-coutent-plus-quils-ne-rapportent.html
Grégory Logean
Un feu de solidarité avec les agriculteurs a été allumé à Mollens
Chers(ères) Membres,
Vous êtes cordialement invités à participer à l’assemblée générale 2020 de l’association romande pour un territoire sans grands prédateurs qui se déroulera selon l’ordre du jour le :
Lundi 24 août 2020 à 19h30 au restaurant du Relais du Grand Mont, Rte du Grand Mont 18,
1052 Le Mont sur Lausanne selon l’ordre du jour annexé
L’ordre du jour suivant vous est proposé :
A la fin de l’assemblée, une assiette vous sera servie au restaurant, boissons non comprises.
Pour des raisons d’organisation aussi bien Covid que d’intendance, merci de vous inscrire auprès d’Éric Erb tf. 079 357 55 10 ou par mail [email protected]. ou [email protected]
En espérant pouvoir compter sur votre présence, nous vous prions d’agréer, chers(ères) membres, nos meilleures salutations.
PS: Le port d’un masque est recommandé.
Le comité
Vous êtes cordialement invités à participer à l’assemblée générale 2020 de l’association romande pour un territoire sans grands prédateurs qui se déroulera selon l’ordre du jour le :
Lundi 24 août 2020 à 19h30 au restaurant du Relais du Grand Mont, Rte du Grand Mont 18,
1052 Le Mont sur Lausanne selon l’ordre du jour annexé
L’ordre du jour suivant vous est proposé :
- Salutations et ouverture de l’assemblée
- Acceptation du PV de l’assemblée du 16 avril 2019
- Rapport du Président et rapport d’activité
- Modification des Statuts (changement de nom de notre association)
- Comptes 2019
- Rapport des vérificateurs des comptes
- Nomination d’un vérificateur et d’un suppléant
- Election d’un membre au comité pour reprendre le secrétariat
- Proposition d’un deuxième membre au comité suisse pour représenter notre association
- Référendum de la loi fédérale sur la chasse, votation du 27 septembre 2020
- Présentation de la carte Européenne des prédations
- Divers
A la fin de l’assemblée, une assiette vous sera servie au restaurant, boissons non comprises.
Pour des raisons d’organisation aussi bien Covid que d’intendance, merci de vous inscrire auprès d’Éric Erb tf. 079 357 55 10 ou par mail [email protected]. ou [email protected]
En espérant pouvoir compter sur votre présence, nous vous prions d’agréer, chers(ères) membres, nos meilleures salutations.
PS: Le port d’un masque est recommandé.
Le comité
Les masques tombent, ils veulent la fin de l’élevage
Deux promeneurs attaqués par un ours dans le nord de l’Italie
Grisons: Observations de grands carnivores
APPEL AUX DONS /CARTE PRÉDATION EUROPÉENNE
La future carte des prédations
Chers(ères) Membres,
Au vu de la situation actuelle dû au Covid-19, l’assemblée générale 2020 prévue le 3 avril prochain au Stand de Vernand à Romanel sur Lausanne est annulée.
Vu l’état d’urgence dans plusieurs cantons, prochainement dans toute la Suisse, ne prenez pas ce virus à la légère. Respectez strictement les consignes sanitaires prévues par l’OFSP.
Dans l’attente de vous revoir, le comité vous présente ses cordiales salutations.
Le comité
Au vu de la situation actuelle dû au Covid-19, l’assemblée générale 2020 prévue le 3 avril prochain au Stand de Vernand à Romanel sur Lausanne est annulée.
Vu l’état d’urgence dans plusieurs cantons, prochainement dans toute la Suisse, ne prenez pas ce virus à la légère. Respectez strictement les consignes sanitaires prévues par l’OFSP.
Dans l’attente de vous revoir, le comité vous présente ses cordiales salutations.
Le comité
TRIBUNAL CANTONAL VALAISANS Lecomte contre Landry
TIR DU LOUP: «LE TRAVAIL LÉGISLATIF A ÉTÉ MAL FAIT»
"les loups vont en l'encontre du développement durable"
La théorie des 500 loups remise en cause par L113
La faillite des moyens de protection face aux loups
Feux de soutien aux éleveurs du 13 septembre dans toute l’Europe!
Depuis 3 ans dans toute l’Europe, nous participons aux feux de soutien aux Éleveurs contre la venue des loups.
Cette année plus que jamais, avec la situation actuelle en Suisse et en Suisse Romande particulièrement, nous allons organiser une manifestation le 13 septembre 2019 en collaboration avec les associations du menu bétail Valaisan et Vaudois à Vionnaz/VS. Un grand feu de soutien sera allumé vers 20h30 sur le territoire d’Evionnaz à la ferme de William Grenon qui se trouve à la sortie de Vionnaz direction Vouvry le long de la route cantonale. Une signalisation sera mise en place. Début des festivités 19h le vendredi 13 septembre. Vous aurez la possibilité de vous restaurer sur place, une cantine sera à disposition. Venez nombreux soutenir nos éleveurs qui en ont bien besoin. Ne laissons pas se développer ses meutes de loups sans réagir !Nous comptons sur votre présence. Merci d’avance.
Eric Erb
Cette année plus que jamais, avec la situation actuelle en Suisse et en Suisse Romande particulièrement, nous allons organiser une manifestation le 13 septembre 2019 en collaboration avec les associations du menu bétail Valaisan et Vaudois à Vionnaz/VS. Un grand feu de soutien sera allumé vers 20h30 sur le territoire d’Evionnaz à la ferme de William Grenon qui se trouve à la sortie de Vionnaz direction Vouvry le long de la route cantonale. Une signalisation sera mise en place. Début des festivités 19h le vendredi 13 septembre. Vous aurez la possibilité de vous restaurer sur place, une cantine sera à disposition. Venez nombreux soutenir nos éleveurs qui en ont bien besoin. Ne laissons pas se développer ses meutes de loups sans réagir !Nous comptons sur votre présence. Merci d’avance.
Eric Erb
DONNEES OU IDEOLOGIE - Qu'est-ce qui motive le programme REWILDING?
Par Steve Busch
Annuler les dégâts causés par des films de propagande REWILDING tels que «How Wolves Change Rivers» (qui a déjà été vu plus de 80 millions de fois grâce à de multiples affichages sur Youtube) s'est avéré être une entreprise intimidante et peut-être futile. Des millions de personnes sont maintenant convaincues que les loups sont «bons» et «nécessaires» à l'environnement en raison de leur capacité à «restaurer» les écosystèmes endommagés.
Bien que de nombreuses tentatives aient été faites pour montrer à quel point ces films basés sur des résultats sont irréfutablement imparfaits, il est nécessaire de déployer des efforts herculéens pour modifier les perceptions initiales une fois qu’ils sont enracinés dans l’esprit des gens. Ceux qui possèdent les plus gros microphones semblent toujours avoir une influence démesurée sur ceux qui tirent leur compréhension du monde de cinq octets sonores de cinq minutes intégrés à des vidéos de production lisses. Corriger de fausses hypothèses n’est jamais facile, mais c’est un élément nécessaire pour être un citoyen responsable ou un scientifique respecté.
Heureusement, même certains «biologistes de la conservation» assermentés reconnaissent (enfin) maintenant non seulement la honte, mais aussi le danger inhérent à la promotion de récits frauduleux dérivés d'une analyse de données incomplète présentée de manière à obtenir le résultat souhaité.
Un nombre croissant de défenseurs de REWILDING ne se contentent plus d’atteindre leurs objectifs grâce à une «science» trompeuse et biaisée. Certains biologistes de la conservation ont peut-être même qualifié de «rébellion» un mouvement en vue de mettre de l'ordre dans leurs actes et de prouver qu'ils sont dignes du label de «scientifique».
Dans un recueil d'essais et d'articles très bien documentés publiés dans un volume intitulé «Science de la conservation efficace: Data Not Dogma» , les rédacteurs en chef Peter Kareiva, Michelle Marvier et Brian Silliman ont lancé une attaque contre l'agenda pairs biologistes de la conservation. Les sujets abordés et les mythes exposés incluent les aspects positifs de la fragmentation de l'habitat, la dévaluation des espèces non indigènes, le mythe des cascades trophiques et la nature douteuse de certaines des affirmations les plus étranges sur le changement climatique.
Pendant trop longtemps, les conclusions préconçues de l’agenda REWILDING ont été autorisées à passer pour une «science» factuelle afin d’influencer les décisions politiques en matière de conservation de la faune et de gestion des terres. Le cartel environnemental radical a toujours accepté de mentir tant que son agenda chargé de valeurs progresse. Pour ces personnes, «les fins justifient TOUJOURS les moyens». Trouver quelques courageux rédacteurs et chercheurs parmi les activistes des défenseurs de REWILDING qui valorisent réellement la vérité et promeuvent une interprétation impartiale des données était rafraîchissant.
Cela dit, les rédacteurs et les auteurs des divers articles inclus dans «Data not Dogma» restent des défenseurs inconditionnels de REWILDING. Mais contrairement à leurs pairs, ces personnes prennent au sérieux leur rôle de «scientifiques». Ils ne se contentent pas de dissimuler les faits ou de fausser les données pour atteindre un objectif. Je me demande si ces personnes se rendent compte que, de leur propre aveu, elles ont peut-être inconsciemment risqué d'exposer le mauvais sous-marin anti-humain de l'agenda même qu'elles espèrent préserver.
Le temps nous le dira.
RÉFÉRENCES -
Voir: SCIENCE EFFICACE DE LA CONSERVATION - Data Not Dogma
LA POLICE DES SCIENCES - Les biologistes de la conservation s’efforcent d’équilibrer science et défense des droits.
Cliquer ici pour modifier.
Par Steve Busch
Annuler les dégâts causés par des films de propagande REWILDING tels que «How Wolves Change Rivers» (qui a déjà été vu plus de 80 millions de fois grâce à de multiples affichages sur Youtube) s'est avéré être une entreprise intimidante et peut-être futile. Des millions de personnes sont maintenant convaincues que les loups sont «bons» et «nécessaires» à l'environnement en raison de leur capacité à «restaurer» les écosystèmes endommagés.
Bien que de nombreuses tentatives aient été faites pour montrer à quel point ces films basés sur des résultats sont irréfutablement imparfaits, il est nécessaire de déployer des efforts herculéens pour modifier les perceptions initiales une fois qu’ils sont enracinés dans l’esprit des gens. Ceux qui possèdent les plus gros microphones semblent toujours avoir une influence démesurée sur ceux qui tirent leur compréhension du monde de cinq octets sonores de cinq minutes intégrés à des vidéos de production lisses. Corriger de fausses hypothèses n’est jamais facile, mais c’est un élément nécessaire pour être un citoyen responsable ou un scientifique respecté.
Heureusement, même certains «biologistes de la conservation» assermentés reconnaissent (enfin) maintenant non seulement la honte, mais aussi le danger inhérent à la promotion de récits frauduleux dérivés d'une analyse de données incomplète présentée de manière à obtenir le résultat souhaité.
Un nombre croissant de défenseurs de REWILDING ne se contentent plus d’atteindre leurs objectifs grâce à une «science» trompeuse et biaisée. Certains biologistes de la conservation ont peut-être même qualifié de «rébellion» un mouvement en vue de mettre de l'ordre dans leurs actes et de prouver qu'ils sont dignes du label de «scientifique».
Dans un recueil d'essais et d'articles très bien documentés publiés dans un volume intitulé «Science de la conservation efficace: Data Not Dogma» , les rédacteurs en chef Peter Kareiva, Michelle Marvier et Brian Silliman ont lancé une attaque contre l'agenda pairs biologistes de la conservation. Les sujets abordés et les mythes exposés incluent les aspects positifs de la fragmentation de l'habitat, la dévaluation des espèces non indigènes, le mythe des cascades trophiques et la nature douteuse de certaines des affirmations les plus étranges sur le changement climatique.
Pendant trop longtemps, les conclusions préconçues de l’agenda REWILDING ont été autorisées à passer pour une «science» factuelle afin d’influencer les décisions politiques en matière de conservation de la faune et de gestion des terres. Le cartel environnemental radical a toujours accepté de mentir tant que son agenda chargé de valeurs progresse. Pour ces personnes, «les fins justifient TOUJOURS les moyens». Trouver quelques courageux rédacteurs et chercheurs parmi les activistes des défenseurs de REWILDING qui valorisent réellement la vérité et promeuvent une interprétation impartiale des données était rafraîchissant.
Cela dit, les rédacteurs et les auteurs des divers articles inclus dans «Data not Dogma» restent des défenseurs inconditionnels de REWILDING. Mais contrairement à leurs pairs, ces personnes prennent au sérieux leur rôle de «scientifiques». Ils ne se contentent pas de dissimuler les faits ou de fausser les données pour atteindre un objectif. Je me demande si ces personnes se rendent compte que, de leur propre aveu, elles ont peut-être inconsciemment risqué d'exposer le mauvais sous-marin anti-humain de l'agenda même qu'elles espèrent préserver.
Le temps nous le dira.
RÉFÉRENCES -
Voir: SCIENCE EFFICACE DE LA CONSERVATION - Data Not Dogma
LA POLICE DES SCIENCES - Les biologistes de la conservation s’efforcent d’équilibrer science et défense des droits.
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Bonjour à vous tous !
Afin d’être solidaire avec les éleveurs européens face aux massacres des loups sur les animaux de rente, un feu de solidarité avec les éleveurs européens aura lieu le samedi 15 septembre à Bovonne. Rendez-vous pour ceux qui veulent participer au bas de la route de Bovonne, sur le route de Solalex à 18h. Un service de navette sera organisé vu que la route de Bovonne est interdite à la circulation. Une soupe de chalet vous sera offerte. Le feu sera allumé comme dans toute l’Europe à 21h .
Avec mes amicales salutations
Eric
Afin d’être solidaire avec les éleveurs européens face aux massacres des loups sur les animaux de rente, un feu de solidarité avec les éleveurs européens aura lieu le samedi 15 septembre à Bovonne. Rendez-vous pour ceux qui veulent participer au bas de la route de Bovonne, sur le route de Solalex à 18h. Un service de navette sera organisé vu que la route de Bovonne est interdite à la circulation. Une soupe de chalet vous sera offerte. Le feu sera allumé comme dans toute l’Europe à 21h .
Avec mes amicales salutations
Eric
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couple_de_loups_fait_sa_vie_dans_les_bois_du_jura.pdf | |
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«Le lynx et le loup gagnent du terrain en Suisse»
Éric Erb, président de l’Association romande sans les grands prédateurs, aux rencontres du col du Glandon, le 19 août 2017. © M.-F. Malterre/GFA
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L’augmentation des populations de lynx et de loups inquiète les éleveurs et chasseurs suisses.
« Les populations de lynx ont explosé en Suisse au cours de ces dernières années, souligne Éric Erb, président l’Association romande sans les grands prédateurs (ARsansGP). La densité a grimpé à un lynx pour 20 km² dans notre région. Le prédateur décime les effectifs de chamois et de chevreuil. » Pour que la pression soit supportable, le responsable estime que la densité devrait redescendre à un lynx pour 250 km². « Il est urgent que la population du prédateur soit régulée », insiste-t-il. Plusieurs meutes Les éleveurs et chasseurs de l’association, présents aux rencontres du col du Glandon les 18 et 19 août 2017, s’inquiètent aussi au sujet du loup. Plusieurs meutes sont présentes en Suisse. Des attaques ont lieu sur les troupeaux. « La situation devient intenable pour les paysans de montagne, déclare Éric Erb », qui signale des accidents entre randonneurs et chiens de protection se sont produits sur le territoire. M.-F. M. |
La contre-attaque des éleveurs
Tous des hybrides... depuis le temps qu'on le dit
Et si nos loups en France n'étaient pas des CANIS LUPUS?
Depuis plusieurs semaines en France, des éleveurs et des élus ont effectué des prélèvements sur de nombreuses zones de prédation et des Analyses ADN ont été réalisées par un Laboratoire certifié en Allemagne.
Résultats des premières analyses : il y a beaucoup de loups hybrides France.
La Recommandation N° 173 de la Convention de Berne adoptée par la France le 5 Décembre 2014 sur les croisements entre les Loups et les Chiens domestiques demande l’élimination des loups hybrides.
Les éleveurs pourraient craindre à juste titre de ne plus être indemnisés en cas d'attaques futures.
Toutefois, les attaques de loups hybrides restent de l’entière responsabilité de l’Etat, signataire de la Convention de Berne. L’Etat est Responsable et doit donc indemniser et aider les éleveurs à se défendre de ces loups hybrides jusqu’à leur élimination totale comme il est prescrit dans la Recommandation N° 173 de la Convention de Berne.
Depuis plusieurs semaines en France, des éleveurs et des élus ont effectué des prélèvements sur de nombreuses zones de prédation et des Analyses ADN ont été réalisées par un Laboratoire certifié en Allemagne.
Résultats des premières analyses : il y a beaucoup de loups hybrides France.
La Recommandation N° 173 de la Convention de Berne adoptée par la France le 5 Décembre 2014 sur les croisements entre les Loups et les Chiens domestiques demande l’élimination des loups hybrides.
Les éleveurs pourraient craindre à juste titre de ne plus être indemnisés en cas d'attaques futures.
Toutefois, les attaques de loups hybrides restent de l’entière responsabilité de l’Etat, signataire de la Convention de Berne. L’Etat est Responsable et doit donc indemniser et aider les éleveurs à se défendre de ces loups hybrides jusqu’à leur élimination totale comme il est prescrit dans la Recommandation N° 173 de la Convention de Berne.
Programme du Salon des Alpages 2017
CONFLITS D’INTÉRÊTS EN SUISSE
Tous à Bulle le samedi 29 avril prochain, Espace Gruyère, 13 heures
Critères morphologiques du loup des Appenins
Plan lynx aide à l'execution
Plan loup aide à l'execution
Le Conseil des Etats temporise sur le loup
Les Valaisans devront décider de l'avenir du loup dans les urnes
Pourquoi une association telle que la nôtre?
En Suisse, en Suisse romande en particulier, le lynx s’est beaucoup développé. On compte en 2016 dans le Jura 1 lynx pour 25 à 30 km2 et environ la même proportion dans les Préalpes alors qu’on devrait avoir 1 lynx pour 150 à 200 km2. Si ce prédateur ne fait plus de dégât actuellement aux animaux de rente, il décime notre faune indigène en réduisant drastiquement les chevreuils et les chamois. En Suisse romande, le loup n’apparaît aujourd’hui que sporadiquement, les pros-loup restent actifs et d’ici peu, la première meute de loup fera son apparition. Avant la réintroduction de ces grands prédateurs, tout allait bien pour nos paysans de montagne. Tout allait bien pour les promeneurs et les personnes qui veulent profiter de la nature. Dès que le loup sera à nouveau présent, tout ceci va devenir ingérable et la nature va être abandonnée par l’être humain. Nous devons prendre cette situation au sérieux et tout faire pour que ces prédateurs ne détruisent pas ce que nos ancêtres ont créé. C’est pour cette raison que nous avons fondé notre association.
comment_la_suisse_a_chassé_les_grands_prédateurs_durant_des_siècles.pdf | |
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