COMMUNIQUÉ DE PRESSE
"Le KORA confirme: La protection des troupeaux échoue - les tirs sont nécessaires".
C'est ce que l'on peut lire dans le rapport KORA n° 105 (janvier 2022), rédigé en collaboration avec l’AGRIDEA a été élaboré.
La fondation KORA est un centre de compétences pour l'écologie des prédateurs et la gestion de la faune sauvage, mandaté par l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) et s'engage pour la conservation de la faune sauvage, notamment des prédateurs.
AGRIDEA, sur mandat de l'OFEV, gère le programme national de protection des troupeaux en Suisse sous le nom de "Protection des troupeaux Suisse".
Ces dernières années, le KORA et AGRIDEA ont toujours postulé que la protection des troupeaux avec des chiens de protection fonctionne généralement bien. Et s'il y a des pertes, c'est parce que les éleveurs ne respecteraient pas suffisamment les directives d'AGRIDEA en matière de protection des troupeaux.
Il faut relativiser, car la Suisse se trouve au début de l'évolution de la prédation. Propagation du loup et le KORA/AGRIDEA ...a jusqu'à présent peu d'expérience avec la protection des troupeaux et les chiens de protection des troupeaux.
Ils ne tiennent pas compte de l'expérience de la France avec des populations importantes de loups et des milliers de chiens de protection dans l'arc alpin français. Les résultats des études qui s'y réfèrent démontrent l'échec de la protection des troupeaux.
Dans l'Arc alpin français, la protection des troupeaux est bien développée et il y a officiellement plus de 4000 chiens de protection qui sont utilisés contre environ 500 loups.
Malgré cela, 11 849 animaux agricoles ont été officiellement tués en 2020 (source étatique:
Site internet "DREAL Auvergne-Rhône-Alpes" sous Info Loup n°36 Bilan 2020).
Pendant très longtemps, AGRIDEA et le KORA ont activement diffusé le principe de croyance que et l'idée que la protection des troupeaux fonctionne.
C'est aussi l'impression que donne le volumineux et confus rapport KORA 105, si l'on ne lit que le résumé et le communiqué de presse.
Il faut lire le rapport très attentivement et plusieurs fois pour trouver les éléments répartis dans le texte pour trouver les faits et les relier entre eux.
KORA et AGRIDEA ne se réfèrent pas à des résultats de recherche éprouvés et tirent des conclusions à partir d'un manque de données.
Les conclusions se fondent sur des données beaucoup trop limitées.
Le fait que seules les années 2004-2019 aient été étudiées soulève des questions. Car en 2004, il y avait 3 loups en Suisse En 2010, il n'y avait que 10 loups en Suisse, en 2016 environ 40 loups et en 2019 environ 70 loups.
La situation a fondamentalement changé depuis 2020.
Il est donc très surprenant que l'étude n'ait pas pris en compte les années 2020 et 2021, puisque l'étude a été publiée en janvier 2022.
En effet, en 2020 et 2021, la population de loups a doublé, passant de 70 loups en 2019 en Suisse à 148 loups. Les attaques de loups ont également presque doublé malgré la protection des troupeaux.
Le rapport KORA n° 105, qui ne prend en considération que les chiffres de 2004 à 2019, ne peut plus se contenter d'affirmer, comme avant que la protection des troupeaux par des chiens de protection fonctionnent bien et qu'il y a peu d'animaux de rente tués.
Le KORA reconnaît enfin que les mesures de protection des troupeaux recommandées jusqu'ici n'empêchent pas les attaques et donc les prédations. Et que les tirs sont une mesure efficace pour réduire les dégâts.
Voir à ce sujet le REVIEW du rapport KORA n° 105 avec les conclusions et les preuves correspondantes :
https://drive.google.com/file/d/1-IL1h_MVpeOwKuYm6I-ds30CvqyjpJ80/view?usp=sharing
Georges Stoffel/Avril 2022
"Le KORA confirme: La protection des troupeaux échoue - les tirs sont nécessaires".
C'est ce que l'on peut lire dans le rapport KORA n° 105 (janvier 2022), rédigé en collaboration avec l’AGRIDEA a été élaboré.
La fondation KORA est un centre de compétences pour l'écologie des prédateurs et la gestion de la faune sauvage, mandaté par l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) et s'engage pour la conservation de la faune sauvage, notamment des prédateurs.
AGRIDEA, sur mandat de l'OFEV, gère le programme national de protection des troupeaux en Suisse sous le nom de "Protection des troupeaux Suisse".
Ces dernières années, le KORA et AGRIDEA ont toujours postulé que la protection des troupeaux avec des chiens de protection fonctionne généralement bien. Et s'il y a des pertes, c'est parce que les éleveurs ne respecteraient pas suffisamment les directives d'AGRIDEA en matière de protection des troupeaux.
Il faut relativiser, car la Suisse se trouve au début de l'évolution de la prédation. Propagation du loup et le KORA/AGRIDEA ...a jusqu'à présent peu d'expérience avec la protection des troupeaux et les chiens de protection des troupeaux.
Ils ne tiennent pas compte de l'expérience de la France avec des populations importantes de loups et des milliers de chiens de protection dans l'arc alpin français. Les résultats des études qui s'y réfèrent démontrent l'échec de la protection des troupeaux.
Dans l'Arc alpin français, la protection des troupeaux est bien développée et il y a officiellement plus de 4000 chiens de protection qui sont utilisés contre environ 500 loups.
Malgré cela, 11 849 animaux agricoles ont été officiellement tués en 2020 (source étatique:
Site internet "DREAL Auvergne-Rhône-Alpes" sous Info Loup n°36 Bilan 2020).
Pendant très longtemps, AGRIDEA et le KORA ont activement diffusé le principe de croyance que et l'idée que la protection des troupeaux fonctionne.
C'est aussi l'impression que donne le volumineux et confus rapport KORA 105, si l'on ne lit que le résumé et le communiqué de presse.
Il faut lire le rapport très attentivement et plusieurs fois pour trouver les éléments répartis dans le texte pour trouver les faits et les relier entre eux.
KORA et AGRIDEA ne se réfèrent pas à des résultats de recherche éprouvés et tirent des conclusions à partir d'un manque de données.
Les conclusions se fondent sur des données beaucoup trop limitées.
Le fait que seules les années 2004-2019 aient été étudiées soulève des questions. Car en 2004, il y avait 3 loups en Suisse En 2010, il n'y avait que 10 loups en Suisse, en 2016 environ 40 loups et en 2019 environ 70 loups.
La situation a fondamentalement changé depuis 2020.
Il est donc très surprenant que l'étude n'ait pas pris en compte les années 2020 et 2021, puisque l'étude a été publiée en janvier 2022.
En effet, en 2020 et 2021, la population de loups a doublé, passant de 70 loups en 2019 en Suisse à 148 loups. Les attaques de loups ont également presque doublé malgré la protection des troupeaux.
Le rapport KORA n° 105, qui ne prend en considération que les chiffres de 2004 à 2019, ne peut plus se contenter d'affirmer, comme avant que la protection des troupeaux par des chiens de protection fonctionnent bien et qu'il y a peu d'animaux de rente tués.
Le KORA reconnaît enfin que les mesures de protection des troupeaux recommandées jusqu'ici n'empêchent pas les attaques et donc les prédations. Et que les tirs sont une mesure efficace pour réduire les dégâts.
Voir à ce sujet le REVIEW du rapport KORA n° 105 avec les conclusions et les preuves correspondantes :
https://drive.google.com/file/d/1-IL1h_MVpeOwKuYm6I-ds30CvqyjpJ80/view?usp=sharing
Georges Stoffel/Avril 2022
Bonjour à vous tous !
Notre Co-Président Germano Mattei continue de défendre le pastoralisme par divers courrier ou lettre des lecteurs. ( voir la traduction ci-dessous) L’Association Suisse a aussi écrit à Mme Sommaruga pour qu’elle intervienne sans attendre afin d’en finir avec cette convention de Berne. Pour vous, sachez qu’il y a 5 bovins qui ont été massacrés par le loup dans le canton de Vaud. 2 à la Vallée de Joux, un en-dessus de Bassins, 2 au Mt Tendre. 113 moutons massacrés en Valais et 2 bovins. C’est insupportable ! D’après la modification de l’ordonnance, le canton est autorisé à tuer le loup dès qu’il a tué 2 bovins. Mais la responsable de la DGE du canton de Vaud ainsi que la Conseillère d’Etat Béatrice Mettraux n’ont encore rien entrepris pour réguler ce prédateur, voir ces prédateurs.
Bonne lecture en attendant de vous revoir lors de notre AG du 2 septembre prochain.
Eric Erb
Notre Co-Président Germano Mattei continue de défendre le pastoralisme par divers courrier ou lettre des lecteurs. ( voir la traduction ci-dessous) L’Association Suisse a aussi écrit à Mme Sommaruga pour qu’elle intervienne sans attendre afin d’en finir avec cette convention de Berne. Pour vous, sachez qu’il y a 5 bovins qui ont été massacrés par le loup dans le canton de Vaud. 2 à la Vallée de Joux, un en-dessus de Bassins, 2 au Mt Tendre. 113 moutons massacrés en Valais et 2 bovins. C’est insupportable ! D’après la modification de l’ordonnance, le canton est autorisé à tuer le loup dès qu’il a tué 2 bovins. Mais la responsable de la DGE du canton de Vaud ainsi que la Conseillère d’Etat Béatrice Mettraux n’ont encore rien entrepris pour réguler ce prédateur, voir ces prédateurs.
Bonne lecture en attendant de vous revoir lors de notre AG du 2 septembre prochain.
Eric Erb
Cliquer ici pour modifier.
Marchairuz: la meute de loups s’agrandit
Canton des Grisons: Accroître la présence des loups
Et si les brebis devaient déserter nos montagnes?
Constat: le dialogue est impossible entre les éleveurs et les associations écologistes. La situation dans le parc national des Ecrins l'a mis en lumière. Les escrolos ont rappelé que le pastoralisme n'avait rien à faire dans les coeurs de parcs nationaux, même s'il y était présent bien avant la création du parc.
La situation est désespérante pour les éleveurs, jeunes pour la plupart. Ils avaient bruyamment manifesté cet été devant la préfecture de Gap jusqu'à ce que Christiane Lambert (FNSEA) siffle la fin de la récréation. Le calme revenu, elle assurait négocier leur protection face au loup. Quelques mois plus tard, les éleveurs n'ont rien obtenu (ni tir, ni effarouchement) dans le coeur du parc, le GNL du 27 novembre a remis les pendules à l'heure.
Cette situation est insupportable, mais pas seulement. Les faux semblants le sont également. C'est l'UICN qui fait la politique de la biodiversité en France depuis 1992, bien qu'elle n'ait aucune légitimité, bien que les parlementaires n'aient jamais voté ce transfert de souveraineté. Faut-il encore le rappeler : les ministres de l'écologie ne sont que des leurres, l'administration qui suit, dont l'ONCFS sont à la disposition de l'UICN. Comment se fait-il que les politiques et les syndicats agricoles fassent encore semblant de croire que le gouvernement va agir face à une organisation totalement mégalomane, qui se comporte comme une agence de l'ONU ?
L'UICN n'a jamais caché ce qu'elle était : l'héritière des personnalités qui ont créé en 1903 la Société des protection de la Faune sauvage de l'Empire (britannique), soit la SPFE, une véritable entreprise coloniale qui a continué de créer des réserves d'où la population était virée sinon massacrée, et ce dans le seul objectif de protéger des espèces pour le loisir des colons blancs.
L'UICN n'a jamais caché qu'elle avait pris le virage en 1956 de la conservation de la nature pour mieux exploiter les ressources naturelles.
L'UICN n'a jamais caché son double objectif d'étendre les parcs nationaux sur 30% du territoire de chaque pays du monde dont elle a établi les "standards" de gestion, elle n'a jamais caché non plus sa volonté de protéger les espèces sauvages, et surtout les grands prédateurs, pour confisquer les territoires des humains qui les occupent. Car l'UICN n'a jamais caché sa haine du genre humain en étant malthusienne et eugéniste.
L'UICN a tous les droits parce que les gouvernements se couchent devant elle, tout simplement. Il suffit de voir avec quel empressement le ministère de l'Ecologie verse 20 millions € à l'UICN-France pour la tenue de son congrès à Marseille en juin 2020. Il suffit aussi de voir comment Elisabeth Borne vient de mettre à disposition de l'UICN un groupe de travail pour renforcer les aires protégées. Aires protégées qui devraient couvrir 50% de l'espace terrestre si l'on en croit les têtes pensantes de la conservation de la nature.
En clair, rien n'arrêtera l'UICN si nous mêmes nous ne mettons pas un terme à cette folie.
Une réunion du Groupe national loup et activités d'élevage s'est tenue à Lyon. Les agriculteurs sont inquiets
Par M.R.
La situation est désespérante pour les éleveurs, jeunes pour la plupart. Ils avaient bruyamment manifesté cet été devant la préfecture de Gap jusqu'à ce que Christiane Lambert (FNSEA) siffle la fin de la récréation. Le calme revenu, elle assurait négocier leur protection face au loup. Quelques mois plus tard, les éleveurs n'ont rien obtenu (ni tir, ni effarouchement) dans le coeur du parc, le GNL du 27 novembre a remis les pendules à l'heure.
Cette situation est insupportable, mais pas seulement. Les faux semblants le sont également. C'est l'UICN qui fait la politique de la biodiversité en France depuis 1992, bien qu'elle n'ait aucune légitimité, bien que les parlementaires n'aient jamais voté ce transfert de souveraineté. Faut-il encore le rappeler : les ministres de l'écologie ne sont que des leurres, l'administration qui suit, dont l'ONCFS sont à la disposition de l'UICN. Comment se fait-il que les politiques et les syndicats agricoles fassent encore semblant de croire que le gouvernement va agir face à une organisation totalement mégalomane, qui se comporte comme une agence de l'ONU ?
L'UICN n'a jamais caché ce qu'elle était : l'héritière des personnalités qui ont créé en 1903 la Société des protection de la Faune sauvage de l'Empire (britannique), soit la SPFE, une véritable entreprise coloniale qui a continué de créer des réserves d'où la population était virée sinon massacrée, et ce dans le seul objectif de protéger des espèces pour le loisir des colons blancs.
L'UICN n'a jamais caché qu'elle avait pris le virage en 1956 de la conservation de la nature pour mieux exploiter les ressources naturelles.
L'UICN n'a jamais caché son double objectif d'étendre les parcs nationaux sur 30% du territoire de chaque pays du monde dont elle a établi les "standards" de gestion, elle n'a jamais caché non plus sa volonté de protéger les espèces sauvages, et surtout les grands prédateurs, pour confisquer les territoires des humains qui les occupent. Car l'UICN n'a jamais caché sa haine du genre humain en étant malthusienne et eugéniste.
L'UICN a tous les droits parce que les gouvernements se couchent devant elle, tout simplement. Il suffit de voir avec quel empressement le ministère de l'Ecologie verse 20 millions € à l'UICN-France pour la tenue de son congrès à Marseille en juin 2020. Il suffit aussi de voir comment Elisabeth Borne vient de mettre à disposition de l'UICN un groupe de travail pour renforcer les aires protégées. Aires protégées qui devraient couvrir 50% de l'espace terrestre si l'on en croit les têtes pensantes de la conservation de la nature.
En clair, rien n'arrêtera l'UICN si nous mêmes nous ne mettons pas un terme à cette folie.
Une réunion du Groupe national loup et activités d'élevage s'est tenue à Lyon. Les agriculteurs sont inquiets
Par M.R.
CHABLAIS: LE LOUP ATTAQUE DES MOUTONS PEU PROTÉGÉS
Éleveurs vaudois inquiets
Depuis peu, une meute de loups a aussi pris ses quartiers dans le Jura vaudois («24 heures» du 29 août). Christian Porchet, éleveur de moutons (440 têtes) à l’alpage du Creux-du-Croue, au-dessus d’Arzier, constate une augmentation des dégâts causés au troupeau et se dit très inquiet pour l’avenir. «Je ne suis pas pour tout flinguer, mais on n’élève pas des bêtes pour qu’elles finissent dans la gueule du loup.» Surtout, le Vaudois ne voit pas quelles mesures prendre pour protéger son troupeau. «On ne peut pas poser des clôtures partout. Ni veiller toute la nuit, c’est pas une vie. J’ai deux chiens de montagne, des pyrénées, mais c’est un paquet de soucis avec les nombreux promeneurs qui traversent l’alpage. Beaucoup ont un comportement inadéquat, voire scandaleux, quand ils lancent des cailloux ou brandissent un bâton.»
Christian Duclos, de Le Vaud, président du Club suisse Aubrac, ne panique pas avec ces loups, mais il a déjà pris des précautions pour son bétail. Il procède aux vêlages avant de monter à l’alpage. «Le loup représente une contrainte supplémentaire. Nous sommes attachés à nos bêtes. Nous ne les élevons pas pour qu’elles soient torturées et dévorées. En plus, nous ne savons pas comment nous serons indemnisés, car il ne suffit pas de payer le prix de l’animal tué. Il faut prendre en considération tout le travail d’élevage et de sélection génétique accompli durant des années. Si la situation empire, il faudra se pencher sur la globalité du problème.»
Christian Duclos, de Le Vaud, président du Club suisse Aubrac, ne panique pas avec ces loups, mais il a déjà pris des précautions pour son bétail. Il procède aux vêlages avant de monter à l’alpage. «Le loup représente une contrainte supplémentaire. Nous sommes attachés à nos bêtes. Nous ne les élevons pas pour qu’elles soient torturées et dévorées. En plus, nous ne savons pas comment nous serons indemnisés, car il ne suffit pas de payer le prix de l’animal tué. Il faut prendre en considération tout le travail d’élevage et de sélection génétique accompli durant des années. Si la situation empire, il faudra se pencher sur la globalité du problème.»
Des chèvres dévorées par un loup à Saint-Gingolph
Un tiers des loups asturiens positifs pour Leishmaniose
Une étude récemment publiée conclut que jusqu'à un tiers des loups analysés dans les Asturies entre 2008 et 2014 étaient positifs pour la leishmaniose.
Comme il est expliqué à partir du portail Web des sciences et de jeu , la leishmaniose est une maladie zoonotique (peut affecter les individus) connus depuis l' antiquité fois , causée par un protozoaire (parasite) et transmis par des vecteurs, en particulier les moustiques du genre Phlebotomo , qui affecte principalement aux carnivores et parmi eux nos chiens.Cette maladie est considérée comme l'un des processus émergents les plus inquiétants dans le monde après le paludisme.
En Espagne jusqu'à il y a un peu plus de deux décennies, il a été considéré comme presque testimonial, cependant, des aspects fondamentalement liés au changement climatique et, par conséquent, à l'augmentation des zones de distribution des transmetteurs de moustiques, signifient qu'en moins de 20 ans déjà dans notre pays d'endémie dans de nombreuses régions du sud et inquiétant dans presque toute la péninsule.
Pour cette raison , les vétérinaires sont conscients de l'importance du problème, la capacité d'affecter les gens, leur gravité lorsque les chiens se malades et la difficulté du traitement, sont insistant sur le fait de plus en plus sur la nécessité d'établir un protocole de vaccination périodique pour aider empêcher sa contagion.
Dans ce sens et avant la progression rapide du processus, une étude réalisée par Olega et collaborateurs et publiée cette même année, a tenté de déterminer la prévalence de cette maladie chez le loup ibérique et d'autres espèces carnivores dans les Asturies.
Pour cela, ils ont analysé 102 échantillons de loups ibériques et 47 d'autres carnivores, entre 2008 et 2014, obtenant des résultats surprenants, en considérant que le nord de l'Espagne est une région non endémique du processus, typique des régions plus chaudes.
Les auteurs ont constaté que jusqu'à à un tiers des loups analysés étaient positifs pour la leishmaniose et la prévalence moyenne pour tous les carnivores analysés était de 40% , concluant qu'il y a une grande présence du parasite dans la région et que l' on observe une augmentation progressive apparente la prévalence chez les loups ibériques au cours de la dernière décennie, donc, même si dans la plupart des cas porteurs subcliniques qui ne présentent des symptômes évidents de la maladie, vous devez d' être attentif à l'impact potentiel sur les populations de ce carnivores et d'autres carnivores et, bien sûr, devraient nous faire réfléchir sur l'importance et la commodité de maintenir un programme de vaccination de nos chiens de chasse contre cette maladie.
Pour cela, ils ont analysé 102 échantillons de loups ibériques et 47 d'autres carnivores, entre 2008 et 2014, obtenant des résultats surprenants, en considérant que le nord de l'Espagne est une région non endémique du processus, typique des régions plus chaudes.
Les auteurs ont constaté que jusqu'à à un tiers des loups analysés étaient positifs pour la leishmaniose et la prévalence moyenne pour tous les carnivores analysés était de 40% , concluant qu'il y a une grande présence du parasite dans la région et que l' on observe une augmentation progressive apparente la prévalence chez les loups ibériques au cours de la dernière décennie, donc, même si dans la plupart des cas porteurs subcliniques qui ne présentent des symptômes évidents de la maladie, vous devez d' être attentif à l'impact potentiel sur les populations de ce carnivores et d'autres carnivores et, bien sûr, devraient nous faire réfléchir sur l'importance et la commodité de maintenir un programme de vaccination de nos chiens de chasse contre cette maladie.
Pour cela, ils ont analysé 102 échantillons de loups ibériques et 47 d'autres carnivores, entre 2008 et 2014, obtenant des résultats surprenants, en considérant que le nord de l'Espagne est une région non endémique du processus, typique des régions plus chaudes.
Les auteurs ont constaté que jusqu'à à un tiers des loups analysés étaient positifs pour la leishmaniose et la prévalence moyenne pour tous les carnivores analysés était de 40% , concluant qu'il y a une grande présence du parasite dans la région et que l' on observe une augmentation progressive apparente la prévalence chez les loups ibériques au cours de la dernière décennie, donc, même si dans la plupart des cas porteurs subcliniques qui ne présentent des symptômes évidents de la maladie, vous devez d' être attentif à l'impact potentiel sur les populations de ce carnivores et d'autres carnivores et, bien sûr, devraient nous faire réfléchir sur l'importance et la commodité de maintenir un programme de vaccination de nos chiens de chasse contre cette maladie.
Comme il est expliqué à partir du portail Web des sciences et de jeu , la leishmaniose est une maladie zoonotique (peut affecter les individus) connus depuis l' antiquité fois , causée par un protozoaire (parasite) et transmis par des vecteurs, en particulier les moustiques du genre Phlebotomo , qui affecte principalement aux carnivores et parmi eux nos chiens.Cette maladie est considérée comme l'un des processus émergents les plus inquiétants dans le monde après le paludisme.
En Espagne jusqu'à il y a un peu plus de deux décennies, il a été considéré comme presque testimonial, cependant, des aspects fondamentalement liés au changement climatique et, par conséquent, à l'augmentation des zones de distribution des transmetteurs de moustiques, signifient qu'en moins de 20 ans déjà dans notre pays d'endémie dans de nombreuses régions du sud et inquiétant dans presque toute la péninsule.
Pour cette raison , les vétérinaires sont conscients de l'importance du problème, la capacité d'affecter les gens, leur gravité lorsque les chiens se malades et la difficulté du traitement, sont insistant sur le fait de plus en plus sur la nécessité d'établir un protocole de vaccination périodique pour aider empêcher sa contagion.
Dans ce sens et avant la progression rapide du processus, une étude réalisée par Olega et collaborateurs et publiée cette même année, a tenté de déterminer la prévalence de cette maladie chez le loup ibérique et d'autres espèces carnivores dans les Asturies.
Pour cela, ils ont analysé 102 échantillons de loups ibériques et 47 d'autres carnivores, entre 2008 et 2014, obtenant des résultats surprenants, en considérant que le nord de l'Espagne est une région non endémique du processus, typique des régions plus chaudes.
Les auteurs ont constaté que jusqu'à à un tiers des loups analysés étaient positifs pour la leishmaniose et la prévalence moyenne pour tous les carnivores analysés était de 40% , concluant qu'il y a une grande présence du parasite dans la région et que l' on observe une augmentation progressive apparente la prévalence chez les loups ibériques au cours de la dernière décennie, donc, même si dans la plupart des cas porteurs subcliniques qui ne présentent des symptômes évidents de la maladie, vous devez d' être attentif à l'impact potentiel sur les populations de ce carnivores et d'autres carnivores et, bien sûr, devraient nous faire réfléchir sur l'importance et la commodité de maintenir un programme de vaccination de nos chiens de chasse contre cette maladie.
Pour cela, ils ont analysé 102 échantillons de loups ibériques et 47 d'autres carnivores, entre 2008 et 2014, obtenant des résultats surprenants, en considérant que le nord de l'Espagne est une région non endémique du processus, typique des régions plus chaudes.
Les auteurs ont constaté que jusqu'à à un tiers des loups analysés étaient positifs pour la leishmaniose et la prévalence moyenne pour tous les carnivores analysés était de 40% , concluant qu'il y a une grande présence du parasite dans la région et que l' on observe une augmentation progressive apparente la prévalence chez les loups ibériques au cours de la dernière décennie, donc, même si dans la plupart des cas porteurs subcliniques qui ne présentent des symptômes évidents de la maladie, vous devez d' être attentif à l'impact potentiel sur les populations de ce carnivores et d'autres carnivores et, bien sûr, devraient nous faire réfléchir sur l'importance et la commodité de maintenir un programme de vaccination de nos chiens de chasse contre cette maladie.
Pour cela, ils ont analysé 102 échantillons de loups ibériques et 47 d'autres carnivores, entre 2008 et 2014, obtenant des résultats surprenants, en considérant que le nord de l'Espagne est une région non endémique du processus, typique des régions plus chaudes.
Les auteurs ont constaté que jusqu'à à un tiers des loups analysés étaient positifs pour la leishmaniose et la prévalence moyenne pour tous les carnivores analysés était de 40% , concluant qu'il y a une grande présence du parasite dans la région et que l' on observe une augmentation progressive apparente la prévalence chez les loups ibériques au cours de la dernière décennie, donc, même si dans la plupart des cas porteurs subcliniques qui ne présentent des symptômes évidents de la maladie, vous devez d' être attentif à l'impact potentiel sur les populations de ce carnivores et d'autres carnivores et, bien sûr, devraient nous faire réfléchir sur l'importance et la commodité de maintenir un programme de vaccination de nos chiens de chasse contre cette maladie.
pourquoi_le_kora_en_fondation.pdf | |
File Size: | 97 kb |
File Type: |
reaction_éleveurs_oncfs4.pdf | |
File Size: | 127 kb |
File Type: |
Lundi passé, 17 moutons éventrés sur la commune de Maienfeld GR.
À la frontière Liechtenstein Autriche.
LE LOUP:
Le 15 septembre, pour soutenir une décision prise lors de la rencontre internationale des éleveurs au col du Glandon. Les participants de France, d'Allemagne, d'Autriche, d'Italie et de Suisse ont décidé de faire un feu sur un sommet par solidarité aux éleveurs qui subissent des attaques insupportables de la part des meutes de loups. Faites suivre l'information et participez SVPL par solidarité. Il est important d' informer les pompiers ou la police de votre région.Cliquer ici pour modifier.
L’indifférence au sujet du loup
Lors de la réunion d’information organisée le samedi 29 avril à Bulle, à l’initiative de l’Association pour la sauvegarde du bétail et de la faune indigène sans les grands prédateurs (ARSGP) plus de 200 personnes, dont de nombreux jeunes gens, en ont appris plus sur la cohabitation entre le loup et le milieu naturel.
Le choix de l’ARSGP s’est porté sur deux conférenciers hautement qualifiés et intéressants pour aborder les conséquences de cet animal sur l’avenir de l’économie sylvopastorale de nos régions, dont M. Laurent Garde, scientifique reconnu chargé de recherche dans les Hautes-Alpes et Alpes-Maritimes.
Avec inquiétude, on apprend que cet animal intelligent est capable d’adapter ses comportements dès lors que ses conditions d’existence changent. Les pratiques de protection encore utiles il y a peu perdent leur efficacité. Seule parade: enseigner au loup la crainte de l’homme et de ses pratiques pastorales.
C’est pourquoi je trouve regrettable qu’à une exception ou deux près, le monde politique n’ait pas répondu présent sur un tel problème de société. L’absence de la presse et des dirigeants du PNR Gruyère/Pays-d’Enhaut n’est pas passée non plus inaperçue aux yeux des nombreux teneurs d’alpage.
Il y va de la pérennité du monde alpestre transmis par nos ancêtres et dont l’utilité est largement reconnue: la présence du loup menace vraiment cet héritage.
RAPHAËL PIPOZ,
CHARMEY
Le choix de l’ARSGP s’est porté sur deux conférenciers hautement qualifiés et intéressants pour aborder les conséquences de cet animal sur l’avenir de l’économie sylvopastorale de nos régions, dont M. Laurent Garde, scientifique reconnu chargé de recherche dans les Hautes-Alpes et Alpes-Maritimes.
Avec inquiétude, on apprend que cet animal intelligent est capable d’adapter ses comportements dès lors que ses conditions d’existence changent. Les pratiques de protection encore utiles il y a peu perdent leur efficacité. Seule parade: enseigner au loup la crainte de l’homme et de ses pratiques pastorales.
C’est pourquoi je trouve regrettable qu’à une exception ou deux près, le monde politique n’ait pas répondu présent sur un tel problème de société. L’absence de la presse et des dirigeants du PNR Gruyère/Pays-d’Enhaut n’est pas passée non plus inaperçue aux yeux des nombreux teneurs d’alpage.
Il y va de la pérennité du monde alpestre transmis par nos ancêtres et dont l’utilité est largement reconnue: la présence du loup menace vraiment cet héritage.
RAPHAËL PIPOZ,
CHARMEY
Belle conférence à Bulle le 29 avril 2017
Beaucoup de monde, venu s'instruire sur l'expérience française.
Merci à Éric Erb et son association qui a (très bien) organisé cette journée... avec une ponctualité suisse! (Merci aussi pour l'accueil avant et après la conférence!)
Comme prévu, Laurent Garde a fait un exposé complet sur la prédation en France. J'ai tout filmé pour faire un montage vidéo. Il servira pour les suisses qui n'ont pas pu venir, mais aussi pour les français. Car , malheureusement, ce bilan évolue d'année en année.
J'ai fait aussi mon exposé sur divers sujets autour du loup. Difficile de tenir dans le temps imposé (1h30). Mais l'essentiel à été expliqué, dont les mensonges de Mr Landry... que les suisses connaissaient bien car mr Landry est suisse.
J'ai proposé quelques idées de "lutte" comme l'analyse ADN, et communiquer sur les conséquences de la présence des loups, et sur le rôle de l'élevage plein air dans la biodiversité. ..
Mr Bonnivard , président de USAPR, regroupant 200 communes, et 15 départements a expliqué qu'il devient nécessaire que les associations des différents pays (qui ont tous les mêmes problèmes) s’associent pour peser plus lourd et pour pouvoir faire évoluer favorablement la problématique.
Il a pris contact avec différents députés... un bon début ...et de bonnes perspectives semblent se dessiner!.
Quelques photos...sans moi, ni Laurent Garde (car je filmais)... mais nous étions bien présents.
Ps: le schéma du conflit d'intérêts de certaines personnes de l'administration suisse et de la LCIE, WWF, et L'IUCN a été affiché partout dans la salle et dans les escaliers avant d'arriver dans la salle...je pense qu'ils ont bien compris le problème.
Les RG Suisses étaient bien sûr présents. ...ils ont pris des photos des personnes présentes... j'espère qu'ils ont bien pris aussi en photos les schémas. ..
Texte et photos de Bruno Lecomte
Merci à Éric Erb et son association qui a (très bien) organisé cette journée... avec une ponctualité suisse! (Merci aussi pour l'accueil avant et après la conférence!)
Comme prévu, Laurent Garde a fait un exposé complet sur la prédation en France. J'ai tout filmé pour faire un montage vidéo. Il servira pour les suisses qui n'ont pas pu venir, mais aussi pour les français. Car , malheureusement, ce bilan évolue d'année en année.
J'ai fait aussi mon exposé sur divers sujets autour du loup. Difficile de tenir dans le temps imposé (1h30). Mais l'essentiel à été expliqué, dont les mensonges de Mr Landry... que les suisses connaissaient bien car mr Landry est suisse.
J'ai proposé quelques idées de "lutte" comme l'analyse ADN, et communiquer sur les conséquences de la présence des loups, et sur le rôle de l'élevage plein air dans la biodiversité. ..
Mr Bonnivard , président de USAPR, regroupant 200 communes, et 15 départements a expliqué qu'il devient nécessaire que les associations des différents pays (qui ont tous les mêmes problèmes) s’associent pour peser plus lourd et pour pouvoir faire évoluer favorablement la problématique.
Il a pris contact avec différents députés... un bon début ...et de bonnes perspectives semblent se dessiner!.
Quelques photos...sans moi, ni Laurent Garde (car je filmais)... mais nous étions bien présents.
Ps: le schéma du conflit d'intérêts de certaines personnes de l'administration suisse et de la LCIE, WWF, et L'IUCN a été affiché partout dans la salle et dans les escaliers avant d'arriver dans la salle...je pense qu'ils ont bien compris le problème.
Les RG Suisses étaient bien sûr présents. ...ils ont pris des photos des personnes présentes... j'espère qu'ils ont bien pris aussi en photos les schémas. ..
Texte et photos de Bruno Lecomte
On comprend mieux pourquoi on est mal défendu à Berne !
UNE JEUNE LOUVE A ÉTÉ TIRÉE EN VALAIS
L’Office fédéral de l’environnement avait donné son accord pour un tir mercredi afin que la meute d’Augstbord ne s’approche pas des maisons.
Les gardes-chasse ont abattu une jeune louve de la meute d’Augstbord en Valais dans la nuit de mercredi à jeudi. L’Office fédéral de l’environnement avait donné son accord pour un tir de régulation mercredi. Le but est de dissuader la meute de s’approcher des maisons.
En plus de réduire l’effectif de loups, le service de la chasse, de la pêche et de la faune espère que cette opération aura également un effet dissuasif pour que cette meute ne s’approche pas des habitations, indique l’Etat du Valais dans un communiqué jeudi. L’animal a été tiré près d’un lotissement de la région d’Augstbord.
Le Canton et l’Office fédéral de l’environnement ont constaté qu’au moins 20 cas avérés d’animaux de rente avaient été tués par le loup entre le 13 mai et le 20 juillet 2016, malgré les mesures de protection prises.
157 animaux de rente tués
Avec 157 animaux de rente tués au total, les loups ont causé d’importants dégâts dans la région de l’Augstbord en 2016, souligne le Canton.
La bête tirée sera transférée au Tierspital à Berne. Le service de la chasse, de la pêche et de la faune poursuit son monitoring pour vérifier le nombre exact de loups qui arpentent cette région et observer leur comportement.
(ats/nxp)
Les gardes-chasse ont abattu une jeune louve de la meute d’Augstbord en Valais dans la nuit de mercredi à jeudi. L’Office fédéral de l’environnement avait donné son accord pour un tir de régulation mercredi. Le but est de dissuader la meute de s’approcher des maisons.
En plus de réduire l’effectif de loups, le service de la chasse, de la pêche et de la faune espère que cette opération aura également un effet dissuasif pour que cette meute ne s’approche pas des habitations, indique l’Etat du Valais dans un communiqué jeudi. L’animal a été tiré près d’un lotissement de la région d’Augstbord.
Le Canton et l’Office fédéral de l’environnement ont constaté qu’au moins 20 cas avérés d’animaux de rente avaient été tués par le loup entre le 13 mai et le 20 juillet 2016, malgré les mesures de protection prises.
157 animaux de rente tués
Avec 157 animaux de rente tués au total, les loups ont causé d’importants dégâts dans la région de l’Augstbord en 2016, souligne le Canton.
La bête tirée sera transférée au Tierspital à Berne. Le service de la chasse, de la pêche et de la faune poursuit son monitoring pour vérifier le nombre exact de loups qui arpentent cette région et observer leur comportement.
(ats/nxp)
187 animaux tués en 2016
Sur la totalité des animaux de rente tués par la loup, 34 l’ont été dans des conditions de protection suffisantes répondant aux normes cantonales. LOUIS DASSELBORNE/A
Réagir à cet article
Par Julien Wicky
Une nouvelle demande de tir du loup va être déposée par le canton du Valais auprès de l’Office fédéral de l’environnement. En effet, entre le 1er juillet et le 31 octobre, 17 animaux de rente ont été tués dans la région d’Augstbord où la présence d’une meute, d’au moins six loups adultes et de trois louveteaux, est confirmée.
Un tir d’ici à mars 2017
Des mesures de protection raisonnables avaient été prises pour protéger les troupeaux et les conditions sont donc réunies pour bénéficier d’une autorisation de tir qui devrait intervenir d’ici à la fin de l’année précise le Service cantonal de la chasse. Cela permettrait de procéder à la régulation du grand prédateur d’ici à la fin mars 2017.
Le Haut-Valais plus touché
Mais le bilan sur l’année 2016 est bien plus lourd. Ce sont près de 187 animaux de rente qui ont péri à la suite d’attaques de loups depuis le 1er janvier. Le Haut-Valais – où se trouve la meute – est le secteur le plus touché avec la mort de 136 moutons et de 13 chèvres. Dans le Valais central, 38 moutons ont été tués entre le val d’Hérens et le val d’Anniviers. Sur la totalité, on compte 34 attaques mortelles dans des conditions de protection suffisantes répondant aux normes cantonales. Et 14 animaux ont péri sur des alpages où aucune protection ne peut être mise en place.
Des dégâts pour 83 680 francs
Ce carnage a un coût, 83 680 francs pour être précis, et près de 500 heures de travail par les collaborateurs responsables du dossier auprès du Service cantonal de la chasse.
Le bilan aurait pu être bien plus lourd sans les mesures de protection mises en place par le Service de l’agriculture, à savoir près de 150 filets de protection, le recours aux chiens et à une assistance technique sur les domaines des exploitations agricoles et des alpages concernés. Ces mesures seront encore affinées et adaptées ces prochains mois.
julien wicky
Votre navigateur ne prend pas en charge l’affichage de ce document. Cliquez ici pour télécharger le document.
De tels abattages ne sont pas justifiables
Info du KORA
la limite de ce que nous pouvons tolérer a été dépassée
Dans la modification de la loi fédérale sur la chasse qui était en consultation jusqu’à fin octobre, seul les loups indépendants pourront être régulés par les cantons. Sitôt qu’une meute existe, c’est la confédération qui est seule compétente. Ceci ne va pas. Les cantons doivent pouvoir réguler les prédateurs dans son entier.
L’association haut valaisanne pour une suisse sans grands prédateurs se demande si Kora joue avec le temps concernant les attaques de loups de la région d’Augstborg/VS. En effet, selon les informations obtenues par Kora, une meute de loups se serait créée dans cette région du Haut-Valais avec photos de louveteaux à l’appui. Le canton qui avait donné son feu vert pour l’abattage du loup responsable des attaques durant l’été a pris cette nouvelle au sérieux et a décidé de lever la mise à mort de ce loup prétendu être le père de la meute. Mais depuis plus de deux mois, les gardes chasses et leurs auxiliaires n’ont pas vu le moindre louveteau dans cette région. Et bien entendu, en attendant, ce loup continue de faire des dégâts dans cette région. Dans la nuit de mercredi à jeudi, une attaque a eu lieu à Obermatten près d’Ergisch malgré le fait que les mesures de protections étaient en place. L’attaque a eu lieu dans un enclos protégé et à 30 m. du chien de protection. Cet éleveur a perdu 75 bêtes l’an passé et déjà 21 cette année. Ceci démontre aussi que les loups qui sévissent chez nous ne sont pas craintifs et n’ont pas peur de l’homme. Ce qui fait dire au Co- Président de l’association pour une suisse sans grands prédateurs, M. Georges Schnydrig, que les mesures de protections ne fonctionnent pas et ne fonctionneront jamais. M. Summermatter, responsable de la protection des troupeaux reconnait aussi cette situation. L’association exhorte le canton du Valais à donner plus d’information sur cette situation. Le manque de réponse du Canton et du Conseil d’Etat et le flou qui subsiste laissent planer le doute dans cette région. Avec cette politique d’information, on pourrait croire que l’Etat veut gagner du temps. En même temps, il perd de sa crédibilité et laisse la porte ouverte à toutes les spéculations.
L’association haut valaisanne pour une suisse sans grands prédateurs se demande si Kora joue avec le temps concernant les attaques de loups de la région d’Augstborg/VS. En effet, selon les informations obtenues par Kora, une meute de loups se serait créée dans cette région du Haut-Valais avec photos de louveteaux à l’appui. Le canton qui avait donné son feu vert pour l’abattage du loup responsable des attaques durant l’été a pris cette nouvelle au sérieux et a décidé de lever la mise à mort de ce loup prétendu être le père de la meute. Mais depuis plus de deux mois, les gardes chasses et leurs auxiliaires n’ont pas vu le moindre louveteau dans cette région. Et bien entendu, en attendant, ce loup continue de faire des dégâts dans cette région. Dans la nuit de mercredi à jeudi, une attaque a eu lieu à Obermatten près d’Ergisch malgré le fait que les mesures de protections étaient en place. L’attaque a eu lieu dans un enclos protégé et à 30 m. du chien de protection. Cet éleveur a perdu 75 bêtes l’an passé et déjà 21 cette année. Ceci démontre aussi que les loups qui sévissent chez nous ne sont pas craintifs et n’ont pas peur de l’homme. Ce qui fait dire au Co- Président de l’association pour une suisse sans grands prédateurs, M. Georges Schnydrig, que les mesures de protections ne fonctionnent pas et ne fonctionneront jamais. M. Summermatter, responsable de la protection des troupeaux reconnait aussi cette situation. L’association exhorte le canton du Valais à donner plus d’information sur cette situation. Le manque de réponse du Canton et du Conseil d’Etat et le flou qui subsiste laissent planer le doute dans cette région. Avec cette politique d’information, on pourrait croire que l’Etat veut gagner du temps. En même temps, il perd de sa crédibilité et laisse la porte ouverte à toutes les spéculations.
Une association contre le loup en Suisse centrale
Les initiants exigent que les effectifs de loups, ours et lynx puissent être régulés plus facilement, pour protéger l'agriculture.
La résistance contre les grands prédateurs s'organise en Suisse centrale. Des initiants de cinq cantons veulent créer une association en ce sens. Ils exigent que les effectifs de loups, ours et lynx puissent être régulés plus facilement, pour protéger l'agriculture.L'assemblée constitutive de cette association pour la protection du gibier et des animaux de rente en Suisse centrale (VSvGZ) est prévue le 18 novembre à Rothenthurm (SZ), indiquent ses initiants sur leur site Internet. Parmi eux figurent la directrice du tourisme de Sörenberg (LU) ainsi que des agriculteurs et éleveurs de moutons des cantons d'Uri, Nidwald, Obwald, Schwyz et Lucerne.
Problèmes
La réimplantation des grands prédateurs en Suisse provoque des problèmes dans l'agriculture et l'économie alpestre et désécurise la population, en particulier dans les régions de montagne et périphériques, écrivent les initiants. Les effets sont les plus marqués dans les régions où se trouvent des meutes de loups.
L'agriculture et les milieux qui lui sont proches attirent l'attention sur cette évolution depuis des années et exigent un changement de cap du Conseil fédéral, poursuivent les initiants. La législation suisse devrait être modifiée pour permettre une régulation des grands prédateurs. Il est temps que les régions concernées s'unissent et se défendent.
Des associations similaires existent déjà dans les cantons des Grisons, du Valais, du Tessin, de Vaud, Fribourg, St-Gall, Glaris et Appenzell. Une association faîtière nationale a été créée en automne 2015. Sa direction est placée sous la responsabilité du Groupement suisse pour les régions de montagne
(SAB). (ats/nxp)
La résistance contre les grands prédateurs s'organise en Suisse centrale. Des initiants de cinq cantons veulent créer une association en ce sens. Ils exigent que les effectifs de loups, ours et lynx puissent être régulés plus facilement, pour protéger l'agriculture.L'assemblée constitutive de cette association pour la protection du gibier et des animaux de rente en Suisse centrale (VSvGZ) est prévue le 18 novembre à Rothenthurm (SZ), indiquent ses initiants sur leur site Internet. Parmi eux figurent la directrice du tourisme de Sörenberg (LU) ainsi que des agriculteurs et éleveurs de moutons des cantons d'Uri, Nidwald, Obwald, Schwyz et Lucerne.
Problèmes
La réimplantation des grands prédateurs en Suisse provoque des problèmes dans l'agriculture et l'économie alpestre et désécurise la population, en particulier dans les régions de montagne et périphériques, écrivent les initiants. Les effets sont les plus marqués dans les régions où se trouvent des meutes de loups.
L'agriculture et les milieux qui lui sont proches attirent l'attention sur cette évolution depuis des années et exigent un changement de cap du Conseil fédéral, poursuivent les initiants. La législation suisse devrait être modifiée pour permettre une régulation des grands prédateurs. Il est temps que les régions concernées s'unissent et se défendent.
Des associations similaires existent déjà dans les cantons des Grisons, du Valais, du Tessin, de Vaud, Fribourg, St-Gall, Glaris et Appenzell. Une association faîtière nationale a été créée en automne 2015. Sa direction est placée sous la responsabilité du Groupement suisse pour les régions de montagne
(SAB). (ats/nxp)
Nouvelles de juillet à septembre
Préalpes: pas de nouvelles du loup vu aux Moulin fin avril 2016, en revanche dégâts à des ovins, vraisemblablement imputables à des chiens.
Jura: entre juillet et septembre 2016, trois attaques contre des moutons signalées. Seule l'une d'entre elles est formellement imputable au loup, où la présence de l'espèce avait déjà été signalée en 2015. Des mesures de prévention ont été demandées par les surveillants de la faune aux exploitants qui pourraient être concernés.
Jura: entre juillet et septembre 2016, trois attaques contre des moutons signalées. Seule l'une d'entre elles est formellement imputable au loup, où la présence de l'espèce avait déjà été signalée en 2015. Des mesures de prévention ont été demandées par les surveillants de la faune aux exploitants qui pourraient être concernés.
Si on observe les dernières attaques de loups au abord du village de Oberuzwil SG, sur le terrain de l’association sportive de Wienacht-Tobel AR et à Dallenwil NW, on peut s’attendre dans un proche avenir à de sérieux problèmes. Les soi-disant loups s’habiruerons aux personnes et deviendront de plus en plus audacieux. Il est connu que les loups peuvent être très dangereux lorsque les gens et les enfants en particulier rentrent à la maison de nuit. Il est prévisible qu’ Ils pénétreront tôt ou tard dans les villages comme les renards pour s’attaquer aux poubelles et alors les habitants ne seront plus en sécurité. Quand allons-nous prendre les vrais décisions. Faut-il qu’il y ai un accident?
Devons-nous attendre comme en Roumanie, que les chiens errants et les loups se promènent dans nos villes. Nous avons déjà vécu cela avec la meute du Calanda l’hiver passé.
2 attaques à Wienacht-Tobel
1 attaque à Oberuzwil
Plus de 10 attauqes en Valais
Une attaque dans un parc de daim pourtant protéger par une clôture de 2m de hauteur à Dallenwil !
Devons-nous attendre comme en Roumanie, que les chiens errants et les loups se promènent dans nos villes. Nous avons déjà vécu cela avec la meute du Calanda l’hiver passé.
2 attaques à Wienacht-Tobel
1 attaque à Oberuzwil
Plus de 10 attauqes en Valais
Une attaque dans un parc de daim pourtant protéger par une clôture de 2m de hauteur à Dallenwil !