Nos buts sont :
Nous désirons maintenir dans nos montagnes un espace de loisirs pour le tourisme et le sport.
Nous voulons pouvoir vivre en paix et en harmonie avec la nature. Ce qui est compromis par la présence des grands prédateurs.
Nous défendons les intérêts des populations et des détenteurs d’animaux de rente et nous informons le public de la situation régionale.
Nous créons et nous soignons les contacts avec les services publics et les hommes politiques.
Nous voulons démontrer l’énorme gaspillage de nos impôts utilisé pour le développement et la protection des grands prédateurs. En 2015 la Confédération a dépensé 3,3 millions de francs. Environ 150'000.- frs par loup.
Nous collaborons avec d’autres organisations qui défendent les mêmes buts.
Nous soignons les contacts internationaux. Nous nous tenons informés des événements et des annonces qui nous parviennent de notre Pays et de l’étranger.
Suppression des grands prédateurs en Suisse
1979
La Suisse ratifie la convention de Berne qui protège les grands prédateurs, alors qu’ils ne sont pas présents en Suisse.
2000
Entre 1999 et 2002 introductions de 10 ours de Slovénie dans le parc naturel Adamello Brenta dans le Trentin dans le cadre du projet « Live Ursus » Aujourd’hui, plus de 50 ours terrorisent la région jusqu’en Suisse.
2002
Première apparition de loup sur le territoire suisse
2008
Tir de l’ours JJ3 qui semait la terreur dans le centre des Grisons
2012
Première meute de loup dans le Calanda entre les cantons de St-Gall et des Grisons.
2012 à 2015
4 mises-bas ont eu lieu ce qui représentent 19 jeunes loups.
2015
En Août on nous annonce une deuxième meute de loup dans la vallée de Morobbia au Tessin
2016
une nouvelle meute s’est formée dans la région d’Augsborg en Haut Valais avec la naissance de plusieurs louveteaux.
2017
Les défenseurs du loup nous annoncent deux éventuelles nouvelles formations de meute. Une dans le canton de Fribourg et une à l’ouest du canton de Vaud dans la région d’Arzier.
La situation depuis 2015 devient intenable pour les paysans de montagne et les propriétaires de moutons en particulier.
Depuis l’été 2015, les chiens de protection sont la cause de plusieurs incidents et accidents avec les randonneurs de moyenne montagne. Ceci est dommageable pour le tourisme.
1979
La Suisse ratifie la convention de Berne qui protège les grands prédateurs, alors qu’ils ne sont pas présents en Suisse.
2000
Entre 1999 et 2002 introductions de 10 ours de Slovénie dans le parc naturel Adamello Brenta dans le Trentin dans le cadre du projet « Live Ursus » Aujourd’hui, plus de 50 ours terrorisent la région jusqu’en Suisse.
2002
Première apparition de loup sur le territoire suisse
2008
Tir de l’ours JJ3 qui semait la terreur dans le centre des Grisons
2012
Première meute de loup dans le Calanda entre les cantons de St-Gall et des Grisons.
2012 à 2015
4 mises-bas ont eu lieu ce qui représentent 19 jeunes loups.
2015
En Août on nous annonce une deuxième meute de loup dans la vallée de Morobbia au Tessin
2016
une nouvelle meute s’est formée dans la région d’Augsborg en Haut Valais avec la naissance de plusieurs louveteaux.
2017
Les défenseurs du loup nous annoncent deux éventuelles nouvelles formations de meute. Une dans le canton de Fribourg et une à l’ouest du canton de Vaud dans la région d’Arzier.
La situation depuis 2015 devient intenable pour les paysans de montagne et les propriétaires de moutons en particulier.
Depuis l’été 2015, les chiens de protection sont la cause de plusieurs incidents et accidents avec les randonneurs de moyenne montagne. Ceci est dommageable pour le tourisme.
Pas de place pour l’ours, le loup et le lynx
Une étude de Kora doit prouver qu’il y a assez de place en Suisse pour 65 meutes avec environ 305 loups. A ce sujet, aucune information n’est donnée sur les régions qui seraient concernées.
Nous savons qu’aujourd’hui déjà avec 25 loups, les dégâts et les frais sont énormes. Pour 2015 3,3 millions ont été investis par la Confédération pour ce programme.
La protection des troupeaux ne fonctionne pas. Les grands prédateurs adaptent leur conduite aux mesures de protection mises en œuvre par la Confédération.
Les chiens de protection sont une menace de plus en plus grande pour les marcheurs et les sportifs et ceci nuit au tourisme.
De ces conséquences, de nombreux éleveurs de moutons vont abandonner l’élevage. Les pâturages de nos alpages seront à court terme recouverts de forêt et ceci favorisera la migration des populations de montagne qui déserteront ces régions.
Une étude de Kora doit prouver qu’il y a assez de place en Suisse pour 65 meutes avec environ 305 loups. A ce sujet, aucune information n’est donnée sur les régions qui seraient concernées.
Nous savons qu’aujourd’hui déjà avec 25 loups, les dégâts et les frais sont énormes. Pour 2015 3,3 millions ont été investis par la Confédération pour ce programme.
La protection des troupeaux ne fonctionne pas. Les grands prédateurs adaptent leur conduite aux mesures de protection mises en œuvre par la Confédération.
Les chiens de protection sont une menace de plus en plus grande pour les marcheurs et les sportifs et ceci nuit au tourisme.
De ces conséquences, de nombreux éleveurs de moutons vont abandonner l’élevage. Les pâturages de nos alpages seront à court terme recouverts de forêt et ceci favorisera la migration des populations de montagne qui déserteront ces régions.